Perspectives de carrière 20

Cintre : une bien belle profession.

20 avis sur “Perspectives de carrière

  1. The Reine Mère juil 9, 2009 08:25

    Bon , preums alors …

  2. smartiz juil 9, 2009 08:26

    DEUZZZZZZZZZ

  3. Smartiz juil 9, 2009 08:28

    cintre c’est super utile … mais en plus comme la plupart des gens ont DEUX bras tu peux accrocher DEUX habits voire plus si tu accroches un habit par doigt … :D

    sur ce j’vais aller me reposer au travaillement … ça fatigue de réchéflir

    Bonne journée impératrice et galaxie :)

  4. ReD BaRoNnE ( BouRReau officiel de sa Sérénisime Impératrice GaLacTiK ) juil 9, 2009 08:40

    Ah non, j’ai encore raté…

    C’est trop de l’injustice …

    Disez moi Chère Chère Impératrice, n’auriez vous point en stock ( et dans la même série ) un meuble ? chaussure ?

  5. Super Salade juil 9, 2009 09:11

    Caramba encore raté

  6. Super Salade juil 9, 2009 09:12

    Je hais les cintres! LE cintre agresse l’homme, par pure cruauté.

  7. Pétronille juil 9, 2009 09:32

    Ahah !

    GRAND DEBAT !

    Le cintre : bien ou mal ?

  8. Super Salade juil 9, 2009 10:29

    Eh, ça marche pas quand jmets des commentaires

  9. Super Salade juil 9, 2009 10:30

    Bon on va faire autrement: cliquez sur le site web, c’est le lien que j’arrivais pas ? mettre dans le commentaire

    (sketch ‘le cintre’ de Desproges)

  10. Super Salade juil 9, 2009 10:31

    enfin cliquez sur "super salade" dans le message précédent quoi!

  11. Tam juil 9, 2009 12:06

    Vachement encombrant ce cintre quand même…

  12. Lychnis (académidichienne du dico de zingueries de la Formika) juil 9, 2009 12:49

    la Naphataline …odeur surannée (? Super salade)
    Sinon cintre bô job pour l’avenir ;))

  13. drenka juil 9, 2009 13:20

    Super salade>> J’allais le dire. Le cintre est un loup pour l’homme.

    MAIS
    Pas autant que le boss du boss du cintre: cui qui pince pour les jupe tsais.
    Cui-la t’as le choix entre:
    – au bout de huit fois laisser la jupe sur la parterre du placard, finalement c’est tri jouli commeca
    – ODER rester tenir compagnie a la jupe. Toute facon t’as pas le choix, t’as le doigts coince dans le cintre.

  14. Super Salade juil 9, 2009 13:31

    drenka: oui je vois très bien de quoi tu parles, mais j’ai trouvé ce qui rend le cintre-qui-pince si difficile d’usage pour les êtres humains normaux: il est conçu pour les gens qui ont trois mains, en effet si tu veux ranger la jupe sur le cintre il faut: une main qui tient le coté droit de la jupe, une main qui tient le coté gauche (vi, pour qu’elle soit tenue par les deux bouts, et pas qu’elle pende lamentablement, le but c’est quand même de ranger) et enfin une dernière main qui referme la pince, pendant que les deux mains précédentes maintiennent la jupe en position: ça fait bien trois mains.

    Moi le choix que j’ai fait, c’est de laisser la jupe sur le parterre du placard, comme tu disais drenka

  15. Super Salade juil 9, 2009 13:32

    oui parce que j’ai essayé de me faire pousser une troisième main, mais même en me concentrant trèèèès fort, j’y suis pas arrivée

  16. Smartiz juil 9, 2009 15:54

    @ Super Salade > tu peux aussi essayer de maîtriser la technique du dédoublement … tu auras ainsi non pas trois mais bien QUATRE mains ? ta disposition ^^
    et c’est utile aussi pour envoyer ton autre-moi au boulot :D

  17. Julie Blablah Barde intergalactique juil 9, 2009 17:22

    Ça me rappelle une chronique d’Alain Rémond sur les cintres :

    « Il y a un complot dont personne ne parle : c’est celui des cintres. Je suis convaincu qu’ils veulent notre peau. En vérité, le cintre est l’ennemi du genre humain. Ce ne sont pas l? paroles en l’air. Encore moins propos de paranoïaque. Si j’accuse le cintre, c’est ? la suite de longues années d’observations scientifiques. Et surtout de douloureuses expériences personnelles. Car, si le cintre en veut ? l’humanité, il m’en veut d’abord ? moi, personnellement. Le cintre est mon ennemi intime. Le cintre est intrinsèquement pervers. Le cintre est né pour tuer. Pierre Desproges avait vu juste : dans l’un de ses sketches les plus métaphysiques, il avait démasqué la méchanceté ontologique des cintres. Lui aussi parlait d’expérience. Mais on ne l’a pas écouté. On a laissé sévir les cintres. Et voil? pourquoi ils auront notre peau.»

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