Mais que ferions-nous sans Elleraconte ?
Hotel Room Service
Petit jeu : devine où Tata Jeanine va faire le sexuel aujourd’hui ? Indice : non, ce n’est pas chez le dentiste (peut-être la prochaine fois !)
Lorsque j’arrivai ? l’aéroport de New-York, j’étais fatiguée de mon voyage et je ne savais même pas si quelqu’un allait m’accueillir pour m’emmener jusqu’? mon hôtel.
Pour susciter la surprise dans son quotidien et ne jamais renoncer au frisson de l’inconnu, Tata Jeanine prend des avions sans prévenir personne et ensuite, savoure le doute délicieux de savoir si oui ou non quelqu’un va venir la chercher. Bien entendu, dans le vrai monde, si tu préviens personne quand t’arrives, ben personne ne vient te chercher hein.
Un homme avait une pancarte sur laquelle était inscrit mon nom.
Heureusement, dans le monde de Tata Jeanine, les choses sont mieux organisées. On laisse un clampin avec son écriteau « Jeanine, Tata » dans tous les aréoports internationaux du monde, et roule ma poule.
Il était certainement la personne ? qui l’on avait confié la tâche de me conduire ? mon hôtel puis de me montrer les bureaux de la société américaine dans laquelle j’étais venue faire mon stage.
J’espère. Je me demande quelle autre explication Tata Jeanine peut envisager dans son cerveau troublé par les phéromones.
« Bonjour! Vous êtes bien Mlle Capalleras ?
HAN ! Tata Jeanine a pris une identité seucrète pour aller fricoter par monts et par vaux ! Quelle coquine, cette Tata Jeanine.
- Moi-même. Et vous êtes ?
Déj? , la tension sexuelle est presque insupportable.
- Mr John. Je suis chargé de votre accueil. Si vous voulez bien me suivre. »
Durant le trajet, on ne s’était pas échangé un seul mot. Le calme plat. Ce silence était gênant et me poussait ? croire que cet homme n’était pas l? de son plein gré.
Alors pour ceux qui ne seraient pas familiers avec les ressorts dramatiques Jeaninesques, ne vous emballez pas sur le Mr John. A chaque fois, elle brouille les pistes, elle nous parle d’un médecin, d’un fleuriste blablabla, et en fait elle se tape toujours l’autre gars. Donc, John, on s’en gratte le coude.
» Nous voil? arrivés ? votre hôtel. Tenez-vous prête demain ? 8h, nous irons ensemble aux bureaux. »
C’est dommage d’ailleurs parce qu’il a l’air fort en communication conviviale, Mr John.
J’étais soulagée d’être arrivée, et contente de voir que l’hôtel dans lequel j’allais séjourner était grandiose.
Lorsque je poussai le porte de l’hôtel, je fus de suite étonnée de la grandeur des lieux mais pas seulement. La décoration était splendide, le personnel aux petits soins et l’ambiance chaleureuse.
C’est vrai que c’est étonnant pour un hôtel grandiose. Moi ? chaque fois que je descends au Georges V, je suis surprise de pas trouver des poils de bite sur la savonnette. (Attends c’est bien le Georges V l’hôtel ? Je confonds pas avec le Champs-Elysées-Clémenceau par hasard ? )
Après avoir obtenu la clé de ma chambre, et quand mes bagages furent montés, je me préparai un bain histoire de me relaxer un peu après une journée de folie qui m’attendait le lendemain.
Alors l? , Tata Jeanine, sache que je me meurs d’admiration pour toi et que vraiment, jamais tu ne me déçois. Tu prends un bain pour te relaxer un peu après la journée qui t’attends demain. Tu maîtrises le Temps et les Lignes de la Destinée. Me basant sur cette saine anticipation des choses, je vais désormais consciencieusement picoler dès le jeudi soir pour me remettre du vendredi ? venir.
Tout ? coup, quelqu’un frappa ? la porte. Je mis mon peignoir avant d’aller ouvrir.
Étonnant, de la part de Tata Jeanine qui n’aime rien tant que de faire le sexe ? travers ses vêtements.
« Bonsoir Mademoiselle. Excusez-moi de vous déranger, je tenais ? me présenter ? vous pour vous dire que si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis ? votre service tout au long de votre séjour au New-York Palace.
Ma qui étouh ?
- Oh … et bien … Merci ! », lui répondis-je avec le sourire.
Ma qui étile ?
Je refermai la porte et allai prendre mon bain comme convenu.
Tata Jeanine est très carrée avec elle-même. Elle avait convenu d’aller prendre un bain, elle prend un bain. Non mais.
Cependant, un détail ne m’avais pas échappé. Cet homme avait un charme fou.
Fou ET immédiat, parce que l’homme mystère lui a adressé trois mots.
Il avait la peau bronzée, un sourire magnifique digne d’un acteur de cinéma, un corps musclé ? la perfection un accent américain agréable ? entendre.
Une fois de plus, Tata Jeanine nous impressionne avec sa vision laser : en 4 secondes elle a vu tout ça, ? travers une livrée d’hôtel grandiose. Ou alors, le mystérieux interlocuteur était nu.
Après être de sortis de mon bain, je pris le téléphone et commandai une bouteille de champagne en espérant que ce soit cet homme qui me l’apporte.
(Cette année pour les fêtes, Tata Jeanine laisse tomber la virgule et nous offre une farandole de « de ». ) Oui, bonne idée. En plus comme ça il te dérangera pour quelque chose, parce que perso je trouve ça un peu abuser d’aller sonner ? la porte des clients pour leur envoyer des message subliminaux genre « je mets ma GROSSE compétence ? votre service, si vous avez un problème de PLOMBERIE ou de CHAUFFAGE n’hésitez pas, le pourboire c’est 20%, ? plus.
C’est ce qui arriva. Lorsqu’il frappa ? la porte, la bouteille ? la main, je lui demandai de rentrer pour lui donner un pourboire.
« Je vous trouve bien sympathique, cela fait combien de temps que vous travaillez ici ?
Tata Jeanine attaque bille en tête ! Moi qui ne sais jamais comment entamer la conversation, la prochaine fois je me fendrai d’un « je vous trouve bien sympathique ».
- Je travaille ici depuis un an Mademoiselle et vous me voyez ravi que le service que je vous porte vous convienne.
Heureusement qu’il a un accent charmant parce que sa phrase, en revanche, elle est toute pourrie.
- Vous avez bien dit que si j’ai besoin de quoi que ce soit vous êtes ? ma disposition n’est-ce pas ?
A ta GROSSE disposition (hum non attends, ça fait pas érotisme ça fait « grosse commission ». Bon tant pis)
- Oui, Mademoiselle.
- Et bien pour tout vous dire, j’ai des douleurs dans le bas du dos, le voyage n’a pas été très bon pour moi, pourriez-vous me dénouer tout ça ?
J’ai très très très envie de me moquer. Et en même temps, j’ai souvenir d’une feinte d’approche équivalente. Donc je ne dis rien. Damn, je savais que mon passé de séductrice invétérée me rattraperait !
- Et bien, cela ne rentre pas vraiment dans mes fonctions … mais puisque vous le souhaitez…
(… je vais vous rentrer un autre genre de fonction.) AH BRAVO, ah c’est du propre, vive la Frânce ! Non mais moi je vois des points de suspension, forcément je finis la phrase quoi.
Je m’allongeai sur le ventre, et l’homme de chambre commença ? me masser le bas du dos. Ses mains douces me donnèrent des frissons et je ne pus m’empêcher d’éprouver une envie soudaine de faire l’amour.
Ah oui effectivement, c’est très soudain ! Et ça tombe bien, en fait, parce que si finalement elle a pu envie, ? ce stade ça va être délicat de renégocier.
« - Vous êtes d’origine italienne n’est-ce pas ? Votre nom n’est pas, selon moi, d’origine française et vos cheveux noirs en disent beaucoup. »
Ou alors elle a les fesses poilues ?
Surprise qu’il puisse s’intéresser ? mes origines, je hochai de la tête pour confirmer. Soudain, ses mains glissèrent sur mes hanches, puis sur mes cuisses.
C’était si soudain. Elle était cul nu ? se faire masser par un inconnu dans une chambre d’hôtel, quand SOUDAIN la soudaineté e l’affaire sauta aux yeux de Tata Jeanine.
« Vous êtes une femme magnifique, ? la seconde où je vous ai vue, je n’ai pu m’empêcher d’éprouver des envies incontrôlables vous concernant ».
Je ne répondis pas, et le laissai me toucher. Il devenait de plus en plus insistant, et ses caresses me procurèrent un plaisir inexplicable.
Je ne vois en effet aucune explication possible ? cet état de fait de.
Il commença ? effleurer mon entrejambe, puis il caressa mon clitoris.
Il débuta alors des préliminaires aussi longs que délicieux. Sa langue se posa sur ma vulve et il me fit un cunnilingus qui me procura du plaisir comme jamais un homme n’avait pu m’en donner.
« Jean-Fulbert, j’aimerais que que vous posiez votre langue sur ma vulve et e fassiez un cunnilingus. S’il vous plait. «
Il caressa mes seins et me pénétra en faisant des vas et vient qui me donnaient l’impression d’approcher l’orgasme ? grands pas.
En fait tata Jeanine devrait faire de la randonnée.
Ce va et vient s’intensifiait et plus je gémissais, plus il prenait plaisir ? continuer. J’ai joui tout en caressant sa verge.
Y’a un truc qu’on peut pas ôter ? Tata Jeanine, c’est sa contenance. Je veux dire, une main dans le vagin pour caresser l’a verge de l’homme mystère, ça commence ? faire du volume quoi.
Une fois notre ébat terminé, il se leva et demanda s’il pouvait ? présent quitter la chambre et s’il avait été ? la hauteur de ma demande.
Il est poli, ce jeune homme.
Bien évidemment, je l’autorisai ? reprendre son service, en le remerciant pour cette si belle nuit passée en sa compagnie.
Moi j’étais ? l’Hôtel de la Gare ? Crépy-en-Valois y’a deux semaines, ben ça s’est pas du tout passé comme ça. Can y’a rien ? faire, le service n’est pas ? la hauteur.
Preumssssss!
Victoire, le retour de l’Impératrice!!!
DEU’ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
Rhoooo mais cette Tata Jeanine, quelle coquine!
Je ne savais pas que "Tata" était son prénom… L’image du gars avec l’écriteau "Jeanine, Tata" est particulièrement évocatrice.
Par contre, j’ai un souci. La nana, elle arrive ? New-York, elle a un chauffeur privée qui l’emmène dans un palace (ingénieusement appelé "New-York Palace"), et tout ça pour bosser en tant que STAGIAIRE?
C’est quoi ce stage? Où est-ce qu’on s’inscrit?
Sinon, je trouve que "vulve" c’est moche. On va pas relancer le débat du "comment faut-il appeler l’entre-cuisse féminin", mais franchement n’évoquez jamais votre "vulve" dans l’intimité, ça fait penser ? une maladie de peau.
*un chauffeur privé*
Pour moi "vulve" ça ressemble trop ? "valve", je visualise une cocotte minute.
Et le George V, dans la mienne métropole, c’est la boite gay. Notez qu’ils doivent bien avoir des petits Spirous sous le coude, au cas ou.
ouééé retour en force de l’impératrice ! Décidément je ne me lasserai ZAMAIS ZAMAIS des aventures de Tata Jeanine !
"Une fois notre ébat terminé, il se leva et demanda s’il pouvait ? présent quitter la chambre"
Bon bin, salut et ? plusse hein.
Quel romantisme échevelé, dites-moi.
Ben > "C’est quoi ce stage? Où est-ce qu’on s’inscrit?"
heu … l? ?
http://www.clintonfoundation.org...
(je sais c’était facile)
Troizzzzzzz de ninja….
Impératrice, vous me manquâtes !
"Moi j’étais ? l’Hôtel de la Gare ? Crépy-en-Valois y’a deux semaines, ben ça s’est pas du tout passé comme ça."
Ah bah oui, sûrement pas.
@ Ben : Un stage de nympho internationale ?
Oh mon dieu !!! (oui j’aime exprimer ma chrétienté après ce genre d’article, je trouve ça fort ? propos)
quatrzzzz en douce
vive le retour de notre Impératrice ! vous nous avez manqué!!
j’aime aussi le concept de se délaisser aujourd’hui de la journée éreintante de demain… faudra que je le tente ça!
perso je me délaisse ce soir = soirée de Noël un mois avant avec alcool ? volonté jusqu’? 1h du matin avec mes collègues au frais de la boite, de la journée de demain ! et zou !
haaan j’ai encore fait une faute de frappe … "se délasser" !
suis vraiment pas douée en ce moment
Ah ! Comme j’ai ri !
le délassage de la journée de demain…c’est ce qui s’appelle être prévoyante…décidément tata jeanine, quelle femme!
par contre, suis d’accord. Vulve, c’est moche comme mot. ça fait parti des trucs anti sesme, "oh oui chéri occupe toi de ma vulve" yeurk beurk. suis l? depuis peu, alors j’ai pas trop tout suivi les débats anciens, mais ouais. Vulve, c’est moche.
et les stages de la tata, ils ont l’air plutôt pas mal. moi j’ai pas eu les même dans mon monde professionnel. ça doit être qu’on a pas la même profession.
et d’ailleurs, la tata elle remercie le gentil monsieur "pour cette si belle nuit passée en sa compagnie". C’est moi ou les nuits de la tata elles passent vite. Et sont bien remplies. parce qu’elle parle bien de longs préliminaires, mais quand même. Ou alors je me rends pas compte , mais bon, toute une nuit quand même . Elle sera pas bien fraiche pour son premier jour de stage.
Impératrice vous nous manquâtes mais vous nous avez préparé un bien beau retour qui m’a permis de me délasser après la fin d’après-midi et la soirée fatigante qui m’attendent et peut-être même après la journée de demain et ce jusqu’au WE tellement j’ai ri.
Ce que j’aime particulièrement chez Tata Jeanine, c’est le souci de la précision et du détail. Parce que oui, il faut d’abord obtenir la clé de sa chambre, ensuite se faire monter ses bagages. Je vous ferai cependant remarquer qu’elle a oublié d’entrer dans la chambre et d’ouvrir la porte de la salle de bain avant de se faire couler ledit bain.
Je suis troublée.
Impératrice vous êtes revienduuuuu, j’ai failli faire le suicide en vous attendant!
dis donc, il est très serviable le gars. ils sont tous pareils ou faut loger dans un hôtel 4 étoiles ?
j’espère qu’elle lui a lui a laissé un bon pourboire pr service rendu
J’ai eu une semaine dupourrite avec genou pété, urgences et pas de beulogue, et d’un coup en rentrant du boulot ce soir, pouf festival de Tata Jeannine. Merci, merci ! (? moins que ça soit pour me remettre après le difficile ouikende ? venir, je sais pas trop).
Moi je retiens la phrase "je n’ai pu m’empêcher d’éprouver des envies incontrôlables vous concernant" : c’est le truc le plus sexy et le plus romantique que j’aie jamais lu (c’est bô comme une lettre des impôts, pour tout dire).
Pour le stage, c’est peut-être un stage d’actrice porno ?
J’ai l’impression que TJ a investi dans un correcteur orthographique et grammatical !
Je m’interroge aussi sur le stage… Loger dans un hotel, qui plus est GRANDIOSE, pendant tout son stage, c’est quand même pas commun… Ou alors elle fait son stage dans l’hotel en question…
Impératrice, ne nous faites plus l’abandon comme ça, on est tout triste après !
le temps m’a paru long comme une morve
Coucouuuuu Impératrice!!!
Capalleras : ça ne sonne pas italien. Cette histoire ne tient pas debout.
"Je ne vois en effet aucune explication possible ? cet état de fait de. "
rhooo ce de placé l? a failli me faire mourir au travaillement
Moi aussi je me demande où elle fait son stage. Moi, pendant mon stage, je vivais dans un logement social ? 32 euros le mois, entre un coréen ex-dealer en rémission et un arabe super sympa toujours entouré d’un odorant nuage de beu, je mangeais des nouilles Eco+, ma concierge sentait la piquette et la seule personne qui venait taper ? ma porte, c’était le logeur pour l’inspection surprise.
En quelques sortes Tata Jeanine a eu le droit elle aussi ? une sorte d’inspection surprise (ou plutôt d’introspection).
Ayé, je suis de nouveau reconnectée. Voui, z’étais en vacancie au miyeu de rien. Mais j’ai tout-tout lu : la sublimissime comédie miousicale de Ben Ze Ménestrel (quel talent, ce Ben !), le débat professionnaliste de PrinceHamlet qui fait fortune sur le dos des autres (ouh, le jeu de mot du vendredi !), des possibilités de location du gigot zen de Faerika … Et pi, tous les zautres que vous m’avez manqués beaucoup-beaucoup.
Tata Jeannine me déçûte : aucune possibilité de gaudriole dans l’avion ? En 8h, elle avait le temps de se taper le co-piloute et l’hôgresse de l’air.
Bon, faut pas que j’oublie de me relaxer hier en prévision de ce soir.
Birnu ? vous tous
Spéciale dédicace aux oreilles fragiles.
Entendu ce matin :
"… et je remercie toute l’équipe qui me font confiance…"
et dire que ça officie ? un poste ? responsabilité !
Naaaan mé c’est vrai qu’une équipe, c’est comme le chien ? trois têtes du premier Harry Potter, on ne sait jamais s’il faut le tututer ou le vouvouter : C’est qu’un seul chien mais il a quand même trois têtes…
Et bon retour ? vous ! Vous nous manquâtes également.
Je trouve qu’il y a ici dessus des commentataires pleins de bonne drôlerie dedans qu’avec la prose de Tata Jeanine ça va bien bien avec thon sur thon tout pareil comme une veste ? fleurs sur une robe ? fleurs ! C’est bôôôôô….
Ah trop drôle, je suis journaliste sur Crepy ! Voil? voil? voil? ….
Elle est reviendue, elle est reviendue-eu !
Qui ça ?
Ben Tata Jeanine !
Ah ouaiis et limpératrice ?
Elle est reviendue aussi-eu, elle est reviendue aussi-eu !
Oh joie ! le vikinde commence bien ! (même ? partir du jeudi si je veux, non mais )
Et alors, dites-nous donc où aller se faire masser le fessier par un groom courtois !
Curaire ahaha j’ai ri derechef !
Impératrice !Vous z’êtes dans les commentaires et je ne vois pas de nuvu peust ! Que se passe-t-il? Que faut-il faire? Est-ce mon z’ordi qui Edith mal?
Pour les réfractaires ? Facebook, Notre Sérénissime a écrit ça ? midi : "J’écrivais rien sur le Beulogue parce que ma narine gauche était bouchée. Maintenant c’est la droite. Put the blame on the morve."
Tenez-vous-le pour dit.
et si on lui envoie des décongestionnants pour le nez ? le blog va reprnedre ???
(pff même pas je vais corriger ma coquille cette fois ….)
Oh mon dieu, j’ai pleuré de rire. Mon chat me regarde bizarrement, les voisins doivent se poser des questions, mais tant pis. Merci, Impératrice !
@Pétronille : chez moi mon petit, chez moi…
@Faerika : vu sous cet angle, on peut supputer qu’il faisait donc allusion ? la direction tricéphale de la bouate …
Impératrice : eucalyptus en inhalation et grog en ingurgitation (et pas l’inverse, hein !)
Argggg joie et rire au boulot ce matin !
"… un accent américain agréable ? entendre."
Un accent américain ? Omaillegaude, comme c’est étonnant au NewYork Palace !
"J’ai joui tout en caressant sa verge". Je ne comprend pas cette phrase, ou plutôt cette position, ou plutôt ce récit en fait :/
"Bien évidemment, je l’autorisai ? reprendre son service", heureusement elle ne l’a pas séquestré… Et le gars qui s’absente toute une nuit de son travaillement, ça n’éveille aucun soupçon.
En tout cas, elle a la forme notre TJ, et elle force l’admiration !