Alors ça, amis, fans, Galaxie, ça, c’est vraiment Noël.
Cela faisait un an que je sortais avec Johnny un très beau réunionnais, néanmoins notre histoire était plutôt fusionnante et sexuelle au début, quand nous avons eu des sentiments plus profond plus tard…
Tata Jeanine est dans une forme olympique (ou devrais-je dire fusionnante ? ) ! Vous allez voir, ça va vous plaire.
Je venais de rentrer dans l’armée et nous étions souvent bloqué sans pouvoir sortir, ou alors sortir mais seulement dans la ville de la caserne. Donc impossibilité de le retrouver ? 250 km la où il vivait.
Tata Jeanine est raisonnable. Elle sait bien que retrouver son amoureux ? 250 km de chez lui n’est pas une très bonne idée. C’est comme si je te disais, ok, on peut pas se voir au café d’en bas, on peut pas se voir ? la piscine, alors disons ? Venise dans 10 ans..
Et par un beau jour d’été, un soir, il m’appela et me dit qu’il mourrait d’envie de me voir tout de suite, d’essayer des nouvelles choses,
Oh ben moi pareil hein, l’autre jour Mollo m’a téléphoné en pleine réunion pour me dire qu’il voulait essayer de se faire des coquillettes, j’étais toute émoustillée.
il commençait ? m’émoustiller
stilleuh-stille !
déj? au téléphone que je lui dis que s’il peut venir ok je me débrouillerais ? sortir de ma caserne discrètement pour se retrouver ? l’extérieur.
Pour émoustiller elle aussi, Tata Jeanine décide de mettre des « que » partout dans ses phrases, au débotté, botteuh-botte.
C’est ainsi, que je lui avais lancé ce défi, que s’il me voulait ce soir il devait donc me montrer qu’il me méritait.
Saluons le retour de la virgule freestyle et du festival du « que ». Tata Jeanine, tu ne nous déçois point.
Il mit deux heures pour venir me rejoindre, et je réussis ? m’échapper pour le rejoindre.
Et nous nous rejoignâmes mit ensemble.
J’arrivais ? sa voiture toute folle et émoustillée de le retrouver après 15 jours loin de l’autre,
Tata Jeanine vit dans un état permanent d’émoustillation, ça doit être un peu fatigant ? la longue.
il me prit ma bouche avec une violence si sauvage
et, aussi, que avec de la brusquerie et de la brutalité
que je sentis un écoulement s’échapper le long de mon pubis si chaud
(Tata Jeanine, et c’est la seule explication plausible, marche sur les mains. Ou alors, l’histoire se passe en Autralie, où il est bien connu que les gens vivent la tête en bas.)(ou alors c’est de la bave ? )
et je ressentis des frissons, ses mains étaient passées sous mon chemisiers ? la recherche de mes seins déj? tout durs…
Johnny a l’air primesautier mais pas forcément très fort en course d’orientation. Une nichonnade, c’est pas si difficile ? trouver, tout de même.
J’apercevais déj? ? travers son jean sa verge gonflée, je la désirais déj? en moi, que j’aurais voulu qu’il me transperce déj? .
Tata Jeanine a la vision-laser !
Ce qui n’était pas prêt d’arriver, car il avait décider de me faire languir le coquin.
Eh ben je n’aurais jamais pensé dire ça, mais il manque une virgule.
Il me dit en me repoussant, qu’il voulait m’emmener quelque part. Je lui fis un sourire pour lui prouver mon accord et mon envie de savoir où.
Moi l’autre jour j’ai souri au charcutier pour lui dire qu’il faisait beau et lui demander une belle tranche de pâté de campagne. Ah, la femme sait en faire passer, des choses, dans un sourire.
Il prit des petits chemins et s’arrêta en pleine campagne, avec des champs ? pleine vue, je le regarda
Non, Galaxie, je ne dis rien : je savoure.
avec un air d’incompréhension et il me répondit qu’on avait peu de temps et surtout pas d’endroit où aller, il voulait qu’on soit tranquille sans personne autour.
Ben tiens, s’ils n’ont pas le temps, il a bien fait de partir ? l’aventure dans des petits chemins, Johnny.
Il commençait déj? ? glisser sa main dans mon pantalon, et un deuxième écoulement
Qu’on fasse quelque chose, cette pauvre Tata Jeanince fuit de partout.
me rappela mon désir déj? si présent, je commençais par lui descendre sa braguette et je saisis son phallus dans mes mains et je commençais ? le branler dans la voiture, l’envie me vint de le prendre ? pleine bouche, je le léchais de haut en bas, et je descendais sur ses belles bourses pleines.
(Avant de faire carrière dans la littérature érotique, Tata Jeanine était éleveuse de taureaux. Pas facile de se défaire du jargon.)
Il me pris soudain par la main et m’entraina dehors au milieu de la route il s’assit sur le capot et je continuer ? le sucer vigoureusement.
Je me permets de vous faire part de ma plus totale admiration pour Tata Jeanine. Ceux d’entre vous qui ont déj? essayé de sortir d’une voiture tout en suçant le conducteur sauront de quoi je parle.
Je le sentais pourtant ? bout mais il pouvait pas m’abandonner maintenant et il le savait. Il me releva me coucha
debout-couché-? -droite-assis, on-recommence-et-c’est-ainsi, yigigiyeah !
sur son capot, j’avais la peur que quelqu’un nous surprenne et cela m’excitait même davantage.
Je vais faire une petite pause parce que pfiooou, attention ? ne pas nous laisser submerger par la vague puissante de l’érotisme quel, coquin, que.
preum’s !
C’est beau !… On dirait du veau !
Je suis tellement soufflée par ce flot* d’érotisme QUE j’en poste mon premier commentaire aiveur, comme ça, sans perdre une virgule, de bon matin.
*espérons que je ne souffre pas des mêmes problèmes de plomberie que tata Jeanine, sinon je vais devoir appeler un plombier polonais ? la rescousse… *glousseuh-glousse*
(Et je ne deuze pas, je ne suis pas une deuzeuse, j’ai été élevée correctement, moi, j’ai certaines valeurs, moi, je mange de la rillette de marque, moi. *les virgules, c’est cadeau, sur mon compte perso…*)
Deuuuuuuuuuz
Léo > du veau mit biscottos
Emma > alors bienvenue, et, merci, pour ce, premier comm.
Abby > vous êtes deux au carré du coup.
Pétro, rappelle-toi :
"Mme Bovary, c’est moi" (G. Flaubert).
Du coup, je trouve ça très du encore plus excitant.
Trop d’erotimsme pour l’ordinateur de mon travaillement, il en devient tout rouge, le pauvre!
TROIIIIIIIIII’ZZZZZZZ !!!!
haaaaaaaaan n’est beau !!!
j’aurais plutôt dit nous, ensemble, nous rejoignââââmes, tard, dans la nuit après, que j’ai pu que, sortir de ma, caserne ..
mais après tout.. chacun son style hein !
N’eût été la mention pubienne qui dégouline (et encore que…) j’aurais compris quant ? moi que Tata Jeannine était peut-être plutôt Jeannot la tata !
Relisez sous cet angle : tout colle parfaitement (yeurke, yeurke). C’est une histoire de garçons qui fricotent. Y’en a même un qui a une coupe mirlitaire !
Et qu’on ne m’objecte pas quelques "E" ajoutés ? d’improbables participes passés : avec une orthographe pareille, on est jamais sûr de rien ma bonne Dame. Ou Monsieur. Ou chèvre, mais seulement si le mirlitaire est légionnaire…
Merci pour la pause parce que l? j’en pouvais plus !!
Je me trompe ou Tata Jeanine est de plus en plus graphique ??
Ah que Tata Jeannine ? sortir avec le Johnny elle chopé le tic du "que". Z’allez voir que quand il va lui colmater la fuite elle va se mettre ? beugler "OPTIC DEUMIIIIIIILLEUUUUUH"
VF, tu me l’ôtes du clavier !!!
Aaaaah ! que serions-nous sans tata jeannine ? je vous le demande, ma bonne chèvre…
Non, non, il ne manque aucune virgule ? "il avait décider de me faire languir le coquin".
"Faire languir le coquin" est une expression périgourdine, qui, précédée, d’un, infinitif, se substituant, ? , un participe passé, signifie: "donner des coups de langue enthousisastes ? un phallus gonflé de militaire".
Tata Jeannine utilise un patois périgourdin classique.
J’ai tout vérifia.
Un peu comme « faire raboter les nageuses » ?
QUE de, l’emotion, je m’emoustilla moua-meme.
LA SUIIIIIIIIIIIIIIIITE !!!
oui, je crois que la suite s’impose…
Mais qu’est-ce qui va-t’il t’y donc s’y tramer derrière ce patois périgourdin et cette orthographe aventureuse? Et surtout quel talent pour retranscrire avec des mots (enfin, plus ou moins, ne nous emballons pas) l’esthétique si tant cheap et tant 3615 qui sent bon la vidéo Canal+ de très tard certains samedi nuit. On imagine parfaitement (que dis-je ! on VOIT) les éclairages "torche vidéo" qui permettent si bien, mal placé ? jour frisant, de constater combien, ? force de manger le gras du jambon, la cellulite de Tata a finit par lui squatter le haut de ses cuisses militarisées. Quand ? Johnny, la seule évocation de ce délicat prénom (et si facile ? porter) induit en deux syllabes un étalage pectoral avec nuque longue décoloré des plus vidéogéniques.
Vite vite la suite.
vite.
je le ragardus, non, plutôt ?
Jeaniiine, tu nous fait bandé et muoiller, que tellemant on en peux plu !!
Jeanine, soleille de ma vie, je t’ai regarde les récits de bourses tout les jours, que je peut !!
Merci, Tréponille. Tu m’as encore fait m’étouffer avec mes pâtes. Lire tes articles est une activité ? risque…
J’ai retrouvé le texte original… Le plus horrible ?! La nénette qui a écrit ça a une photo de son fils en avatar… LOL
Je,crois, que Tata Jeannine, que elle est en pleine, hystérie… Et moi ça me fait divaguer dans "mortederireland" ces morceaux d’anthologie !
OMG! Tata Jeannine et moi avons les mêmes passe-temps!
Sauf que moi, je préfère faire ça chez moi, au chaud!
Ahah ! j’aurais dû attendre janvier pour vous mettre la suite ! Mais… ça sera tété trop cruel.
mais looooooooooooooooooool! ah, j’en peux plus de rire! La phrase de fin m’a achevée "quel, coquin, que".
ohlala , pfiou!
félicitations, c’est trop drôle
Merci, Pétronille, pour ces moments forts en Nutella. Je ria beaucoup. Même que, ma môman a voulu connaître le sujet de mon hilaritude. Dommage qu’elle, n’a pas comprise quand je lui a répondu ‘une histoire d’écoulement’…