Le retour de Tata Jeanine 23

Chère Galaxie ! J’avais promis de te parler de sexualité sexuelle mais pourquoi tenter de rivaliser avec cette experte en frotteuh-frotte-le-trilili qu’est Tata Jeanine ?

Une journée soldes, pas comme les autres

Ce jour l? , je m’apprêtais, ? aller faire les soldes, seule comme ? mon habitude.
Car mon utilisation excessive des virgules m’a coupée de mes amis et de ma famille.
Un petit pull en V gris, un jean et une paire de ballerine au pied pour être le plus ? l’aise possible, pour arpenter toutes les petites allées de mes magasins préférés, mais aussi une tenue facile a hottée pour les essayages.
Eh oui, Tata Jeanine est très « hot » huhuhu. Hum. Pardon.

Aux alentours de 13 heures, après avoir déj? fait une dizaine de magasins, et après avoir déjeuné, je m’engageai alors dans ma boutique préférée, une grande boutique de dessous. A l’entrée du magasin, un homme de la sécurité se trouvait l? ,
Étonnamment.
grand 1m90,
Environ hein, comme d’habitude.
très charismatique,
Aaaaa, le charismatisme des agents de sécurité !
châtain aux yeux bleu. Il m’ouvrit la porte et me scruta du regard, j’avais l’air de lui plaire.
C’est sur, le gars il est payé pour scruter les clientes qui entrent et fermer la porte au nez de celles qui ne lui plaisent pas. Très fine stratégie commerciale, de la part de la grande boutique de dessous.
Je commençai alors ? fouillé dans les rayons, quand je senti quelqu’un me regardait, c’était lui, il me suivait.
Donc, toutes les petites beurettes qui se font systématiquement suivre par les vigiles dans les magasins n’ont plus ? s’en faire ! Voyons ! C’est pas parce qu’on les soupçonne de vouloir voler des sous-vêtements, non, c’est parce qu’on veut les sauter sauvagement ! Ouf, tout va mieux.
Au bout d’une demi-heure et une dizaine d’ensemble,
Galaxie, j’ai hâte de voir ce que tu vas me trouver comme synonymes. Perso pour le moment j’ai :  » ? côté d’une fontaine et plusieurs sacs ? mains  » et  » après 10 km et quatre petits chiens « , mais je suis pas très inspirée, j’admets.
je me mis en route vers les cabines d’essayages.

Je me mise nue,
je ne trouve rien ? dire tellement c’est beau, mais je ne pouvais pas rester l? sans même aller ? la ligne !
et commença ? essayer un premier ensemble noir en soie, très sexy. Puis un deuxième, un troisième.
Elle doit être sexy, en effet, Jeanine, avec ses quatre ensembles de lingerie superposés pour faire gigot… Allez, je mets, encore, une, virgule.
Arriver au sixième ensemble, une guêpière, rouge et noire, et son petit string,
Petite pause bactérie : yurk ! Ça va pas bien d’essayer du zlipe d’entrefesse comme ça cul nu ?
je me regardai dans le miroir, et je le vis de l’autre côté du rideau, me regardant.
Un instant de projection mentale : tu es nue dans une cabine d’essayage et un vigile vient te scruter. Perso, j’Hubert-kiffe. Et toi, galaxie ?

Il était terriblement séduisant, il m’excitait, j’avais envie, de le rendre fou,
En ajoutant des virgules ? ma phrase jusqu’? ce que ses yeux pleurent des larmes de sang.
voir jusqu’où sa patiente avait des limites.
… Jusqu’au moment de l’endroit où le bouchon est poussé, mais pas plus loin ? côté, hein !
Je me mis a me penchée en avant, ? me caresser les cuisses, puis je remontai délicatement sur mon ventre, puis ma poitrine, je fis glissée une bretelle de la guêpière, je vis alors une bosse énorme sous son pantalon noir.
Rhoooo, Tata Jeanine ! Ça m’excite tellement ton histoire, que je me tape délicatement la tête avec mon Bescherelle.

Il entra violemment dans la cabine s’assurant que personne ne le voit entré.
Donc avec une sorte de violence tapageuse mais furtive.
Il me plaqua contre le miroir, et se mit ? m’embrasser fougueusement.
C’est cool. Imagine, la fille elle change d’avis, ben c’est trop tard, elle est immobilisée par un vigile très grand d’1.90 m, qui lui galoche les amygdales jusqu’? plus soif.
Il me prit au niveau de la cuisse et remonta ma jambe contre lui.
Attends, je comprends pas, il te prend la cuisse ? Digueuh-dig dans la cuisse ? Ce jeune homme me ne semble pas très, euh vigilant. Huhuhu. Hum.
Je me mis alors ? me frotter contre lui tout en le déshabillant,
Que la Sainte Brouette en soit remerciée, tata Jeanine est multitâche.
ses mains se mirent a me caressées les fesses, il me plaquait contre lui. J’étais terriblement excitée a l’idée de me « faire prendre » par un bel inconnu, dans ma boutique de sous vêtements.
Pour préserver ce qui nous reste de pudeur, Tata Jeanine met des guillemets.

Il fit descendre sa bouche tout contre ma poitrine, il me mordillait les tétons, tout en me caressant l’entre jambe. J’étais très humide de désir. J’avais très envi qu’il me prenne immédiatement, mais il se mit a genoux devant moi écarta mes cuisses, et se mit ? faire jouer sa langue sur mes lèvres, puis sur mon clitoris. Il me caressait les fesses. Avec mes mains je le plaquai dans mon entre jambe pour ne pas qu’il s’échappe…
… en même temps j’aurais peut-être une vie plus sympa si en lisant ça j’avais très envie de me toucheuh-touche au lieu de vouloir souligner les fautes directement sur l’écran avec un marqueur rouge. Peut-être. J’igueunore. Hum.

Au bout de 5 minutes, un violent frisson me parcouru tout le corps, je venais d’avoir mon premier orgasme. Il remonta alors il m’embrassa. Puis se déshabilla devant moi, je n’avais jamais vu un homme aussi bien fait. Il était musclé, la peau matte, entièrement épilé comme s’il sortait de chez l’esthéticienne.
On ne juge pas hein, le fantasme c’est perso, surtout au niveau du pwal. Par contre on peut se moqueter un peu que Jeanine soit nue dans une cabine d’essayage en train de faire des cochoncetés mit vigile, et qu’elle pense ? son esthéticienne. Au lieu de penser ? sortir une capote, abrutie.
J’avais horriblement envie de lui. Il me prit alors dans ses bras, et me pénétra, d’un coup sec. La cabine ne cessait de vibrer sous ses coups de reins,
Toujours très discrètement.
il faisait terriblement bien l’amour. Il était doux et avait une envie très intense.
Donc il est violent et doux, brusque et discret, et il t’enfonce la tête dans le plâtre avec ses coups de reins, mais mit tendreté, c’est ça ? Jeanine, la passion te fait perdre la tête.
Il me fit alors descendre, et me retourna. Il me prit alors en levrette. Dans le miroir il me regardait de son regard excitant.
Eh ben ? pas un seul  » alors  » dans les deux dernières phrases ?
Je voulais le voir jouir, je ne cessai de le fixer droit dans les yeux jusqu’? ce qu’un violent orgasme nous parcourus tout les deux en même temps.
Aaaaaah, l’orgasme simultané ! La déception m’eusse terrassée s’il avait manqué ? la fête. Alors.

Il se rhabilla, me remercia,
Ah bah c’est bien, s’il est poli, alors.
et me dit que tout était offert par la maison,
Jeanine, ton beau vigile te prend pour une prostipute. Une prostipute pas très futée, parce que pendant qu’il est l? ? s’esponger la bite, toi tu vas faire sonner le portique avec tous tes beaux dessous  » offerts  » avec l’antivol dessus, et quand son collègue de l’entrée va t’arrêter, tu vas faire quoi hein ? Digueuh-dig derechef ?
a une condition, c’était de renouveler notre expérience ici même.
Ben tiens. Il va pas sentir très frais du zlipe s’il reste l? dans la cabine ? t’attendre pendant des jours.
Je m’empressai d’accepter tellement j’avais adoré faire l’amour avec lui.
Je lui fit un clin d’œil complice tout en me sauvant….
Oouuuuuh, very risqué ! Sortir d’une boutique de lingerie en courant sans regarder devant soi, blindée d’articles non payés. Tata Jeanine n’a pas fini sa journée de folie.