Rester zen – durant la Grande Réunion Relou

Pour l’histoire de la malédiction avec Grazia, voir ici.

Incomprise – Zaho

Incomprise quoi que je diseAlors pour vous donner le contexte Zaho c’est la jeune femme (elle est jolie d’ailleurs) qui parle en verlan au carré et fait des soirées arrosées. Je confirme qu’en ayant beaucoup bu, communiquer devient compliqué. A part quand tu parles ? kévin, bien sûr, qui est lui aussi totalement bourré, et ...

Puni-puni

On avait pourtant prévenu Hitler : si tu continues ? être méchant, tu sera réincarné en chat roux. Hitler avait bien rigolé. C’était avant d’atterrir dans la peau de Kitty, chat thérapeutique au Foyer des Mimosas (spécialisé dans la réinsertion des serial-killers de 3 ? 11 ans).

Car l’espoir s’est enfui et seul reste Cali

Galaxie, sache tout d’abord que dans son infinie prévenance, France Inter a décidé de programmer Pascale Clarke le matin. Histoire d’être sûrs que je finisse par partir de chez moi.

Pourquoi la cigarette, c’est le mal

1 Parce que ça pue. 2 Parce que tu sais que c’est mauvais et que tu en fumes quand même. 3 Parce que ça rend ceux qui ont arrêté tellement relous que tu préfèrerais les voir morts. 4 Parce que ça pue. 5 Parce que les gens qui fument ont parfois le réflexe farfelu de ...

Mea culpa

Galaxie, Ceux d’entre toi dépourvus de pieds peuvent passer leur chemin, parce qu’aujourd’hui, je vais parler chaussures. Longtemps, j’ai critiqué avec bonheur les porteuses de bottes. Surtout les bottes vaguement molles un peu années 80. Déj? , parce qu’? part mon frère et moi, soyons honnêtes, les années 80 n’ont pas produit beaucoup de choses ...

Le point de non-retour

En 2010, il apparut qu’il était désormais quasi impossible de distinguer la bloggeuse-mode-qui-pose-le-guenou-en-dedans, et la prostitpute en exercice.

Et te voil? / et me voici, moi

Chère galaxie, quelle année de merde de folie que 2010 !

De l’inconvénient d’être une psychopathe

Chère Galaxie, je t’ai fait rigoler avec mes histoires de bactéries, mais sache que mon obsession me pose parfois problème. Légèrement.

Des souris et des hommes

Jeanne-Aymeric aimait les animaux. Elle les aimait de tout son être, tellement, tellement. Elle les prenait dans ses bras, et les serrait, les serrait, aussi fort que son cœur débordait d’amour ; et ça faisait beaucoup. Bon, après, forcément, il fallait en acheter un autre.