Sur le chemin qui m’emmène chaque matin, en une longue transhumance désespérée, jusqu’au travaillement (en ce moment, on prend très cher, et pas dans le sens de : « on fait des apéros-fiesta tous les soirs et on ondule dans nos carrés VIP jusqu’au bout de la nuit c’est très sympâh »), je vois des affiches pour ...