Lundi-Bisou 68 7

Gonzague, qui est comme chacun le sait, ma petite sœur préférée, est chonchon.

C’est inadmissible et scandaleux. Mon quotidien est possible parce que je berce dans la douce certitude que mes parentaires familiaux sont contents et enthousiastes (comment en serait-il autrement puisqu’ils sont en combi-pyjama avec l’orteil qui dépasse, en train de jouer aux Lego et de manger du gâteau de semoule ?!)(oui j’ai refusé de mettre à jour mes données mentales à partir de 1998)(je le vis très bien, merci).

 

Il semblerait néanmoins que bon.

Gonzague soit chonchon.

Elle chonchonne grave.

Et faites pas genre vous voyez pas de quoi je parle. Vous voyez très bien. Vu que c’est lundi. Tous les gens à peu près normaux sont donc en mode déni global.

Car il y a des jours comme ça

(où tout ne va pas pour le mieux)

J’aime pas ça parce que je pense que sa vie devrait ressembler à une petite chauve-souris : pleine d’espoir et de curiosité, avec des ailes majestueuses à déployer. (Quand elle ne sera plus en pyjama).

Heureusement, quand tout va mal, il reste une possibilité : faire chier les autres. Est-ce que c’est bien et constructif ? Non. Est-ce que c’est rigolo ? Oui, parfois-souvent (et comme c’est le thème, bah ça tombe bien).

 

Bon d’abord on va commencer par le plus simple : les chiens. Gonzague est pas fan mais moi j’aime bien. Et pis c’est RIGOLO.

Un peu de philosophie ?

En plus les chiens c’est bien parce qu’on ne peut pas les vexer. On peut se moqueuter un peu.

 

Bon et puis je démarre avec des blagues d’Halouwine (que c’est presque bientôt)

 

Ça aussi, ça m’a fait rire. (Mais ça m’a mis du Rihanna dans la tête) (GOOD GIRRRL GONE BAD) (EH EH EH OH) (UMBEU-RELLA-ELLA-ELLA-ELLA-EH)

Et ça aussi, mais il faut dire que j’ai des goûts tout pourris assez simples.

Ça aussi, ça m’a fait rire : (j’avais vu une version encore plus drôle en vidéo mais c’est plus galère à intégrer qu’un bête gif et au cas où ça vous aurait échappé je suis une grosse flemasse).

 

Sur ce je fais le birnu à Gonzague que j’aimerirai même quand j’aurai mouru :

(je serai un fantôme qui viendra manger ses biscuits la nuit)(OUH comme cette idée est réconfortante de TANT de manières ! C’est bien que je sois psychologue de métier, ça se sent)

ALLEZ courage à tous, dansez comme si vous étiez une petite patate que personne ne regarde.

Je termine sur ceci, que vous avez déjà vu, mais qui me fait si rire :

 

Non ? Il vous en faut encore ? Bande de PETITS FRIPONS.

Un peu de n’importe quoi ?

(Vous voyez le talent avec lequel, d’une seule phrase, je vous amène à penser que tout était super cohérent jusqu’ici ? #Acheutague écrivaine professionnelle)

Et parce qu’on arrête jamais de rigoler avec les T-rex (mais là Gonzague va pas comprendre parce qu’elle a 8 ans)

Hop.

Normalement à ce stade, vous voyez de nouveau la vie en rose. Enfin en multicolore. Enfin en arc-en-ciel-du-dgendeure, comme un petit Gremlin content qui serait au cinémascope avec des Maltesers.