Oui en j’ai un en décalé alors au lieu de vous perturber en loupant un nombre, je parle très vite dans le titre.
LE VENDREDI-KIKI est là : la 12è nuance de Ni’importe Quoi !
Et attention cette fois on parle de trucs sérieux ; la déesse intérieure. Et après on se moque. Mais d’abord on explique.
(Madame Eugénie nous pose aussi très clairement les limites du n’importe quoi : ce sont le merengue)
Merci !
Vous illuminâtes mon vendredi-pourri, j’en danse la sambachata de joie !
Mon djeu mon djeu mon djeu.
Plus j’en entends parler de ce pamphlet anti-feministe et pro-macho-violent-et-con, plus j’ai envie de choper son « écrivain », la secouer très fort, et lui faire bouffer son torchon par le trou du cul.
Et dire que des millions de femmes, jeunes et très jeunes filles se persuadent désormais que se faire humilier, frapper ,attacher, soumettre à tous les désirs pervers d’un benêt, c’est fashion, c’est normal, c’est swag.
Ça y est j’ai mal à la tête.
Ma déesse interieure joue au bilboquet et kamoulox de plaisir en écoutant ce nouvel épisode de nuances de portnawak.