Galaxie, au péril de ma vie, je suis allée enquêter sur les typologies de mecs bourrés.
Celui qui parle
Celui qui parle beaucoup, en général, parle encore plus, bourré. Beaucoup-beaucoup. L’intérêt, c’est que t’es pas obligé de rester l’écouter, de toute façon il continuera ? parler tout seul. Pars ailleurs sans regrets ni tracas : il ne s’en rendra pas compte.
Celui qui palpe
L’alcool le rend d’humeur palpative. Il est plein d’amour, surtout pour tes cheveux, tes bras, tes fesses, bref tout ce qui dépasse. Quand tu lui dis qu’il est gavant et que t’as pas trop envie de te faire palper, en fait -ou en tout cas, pas par lui- il affiche l’air surpris et perplexe de la poule devant un roulement ? bille. Mais ça ne dure pas longtemps ; il oublie et revient te palper.
Celui qui est pas d’accord
Il pense que tu as tort. Même quand tu vas faire pipi pour lui échapper, il te suit aux toilettes pour t’expliquer que tu as tort (de faire pipi ? A ce stade, les choses deviennent un peu floues, parce que ça fait deux heures qu’il te saoule de paroles, alors que tout ce que tu lui as dit est « bonsoir »).
Celui qui a envie de s’aérer
Et sort donc son pénis.
Celui qui est gentil
Entouré de gens agressifs, déprimés ou hystériques, il reste souriant, poli, avenant. (En général c’est celui qui raccompagne les filles ? l’autre bout de la ville, tout ? fait ? l’opposé de chez lui, ne tente rien, puis rentre enfin se coucher, seul, pour deux heures -le lendemain il doit se lever ? 7 heures pour aider une collègue ? déménager).
Celui qui rit gras
On ne sait pas vraiment pourquoi il rit, vu que ce qu’il dit n’est pas drôle, mais il rit, gras, gras. Tellement que tu finis par en conclure que tout l’intérieur de son corps n’est en fait qu’un gros mollard.
Preum’S
deuz!
Toutes mes ficelles de caleçons,
C’est tout ? fait bien résumationné !
Je crois que notre journée Vodka/Carrot Cake de la dernière fois a inspiré notre impératrice.
Il en manque :
– celui qui chante (faux) ; il y en a que l’alcool rend d’humeur musicale. Et qui connaissent tout le répertoire des chansons ? boire.
– celui qui a une petite vessie (vite, vite, peu importe où et comment)
– celui qui est aggressif
après quelques verres, certains semblent pris d’un besoin irrépressible de pratiquer la boxe, malgré la diminution évidente des réflexes provoquées par la boisson
– celui qui dort (en ronflant)
– celui qui philosophe. C’est certes une variante de celui qui parle, mais qui se contente pas de parler, qui développe tout un raisonnement très bizarre sur le sens de la vie et la grandes questions spirituelles (ou spiritueuses)
Il y a aussi celui qui aime le monde entier des le 3e verre. Au 5e tu es un des 7 merveilles du monde. au 17e, c’est le demande en mariage.
Il y a aussi celui qui aime le monde entier des le 3e verre. Au 5e tu es la 14e merveille du monde. au 17e, c’est le demande en mariage.
Ah benh pour la peine tu auras deux fois mon commentaire… oups!
Lama Bleu c’est malin, je vais fredonner "celui qui chante" toute la journée maintenant… Mais j’avais jamais fait gaffe que ça parlait d’un mec bourré en fait.
Il y a aussi mon préféré : celui qui danse. De grand moment de fous rire. Surtout si toi aussi tu as un peu picolé et que toi tu es dans la catégorie celle qui rit (mais léger, la fille ne rit pas gras. NON)
Lama bleu: j’ai déj? rencontré celui qui philosophe. Effectivement, je milite pour une catégorie ? part. Il m’a expliqué que toute la beauté et l’injustice de la vie était lisible dans la forme du perron (oui, le petit escalier de pierre devant l’entrée principale d’un bâtiment comme dirait wikipédia). Le philosophe symbolique voit des choses…
Y’a celui qui déprime et pleure comme un bébé…
Y’a celui qui trouve la soirée naze (quand y’a plus ? boire) et se barre avec pertes et fracas… et que les pompiers retrouvent ensanglanté dans les escaliers de l’immeuble ? cause d’un loupé de marche suite ? l’appel d’une voisine apeurée (l’un de mes chers amis se reconnaîtra…).
Et y’a celui qui envoie des sms… hein
Dites-donc, je voulais vous faire la suite bientôt mais si vous êtes pas contents z’avez qu’? la faire tuseuls ! VOILA !
C’est horrible de les voir tous étalés sur une même liste, parce qu’on ne peut s’empêcher d’imaginer ce que doit donner une soirée où on est confrontée ? TOUS.
Ceci dit, c’est vrai qu’on peut les planter l? sans un mot, sans qu’ils s’en rendent compte, ou bien on peut aussi s’entrainer ? leur dire ce qu’on n’aurait pas osé s’ils étaient sobres (j’ai eu un plaisir libérateur un jour, ? expliquer clairement ? un mec bourré que 1) l’espace vital est capital et que 2) il envahissait mon espace vital).
Mince, nous, fanfous hyperactifs avons sapé le Mojo créatif de l’impératrice…
Moi je parle beaucoup et je me gausse telle la hyène en mode baleine ? bosses. Je suis doublement catégorisée.
Dans mes soirées j’ai :
– Celui qui te palpe ET qui veut se battre
– Celui qui chante (faux) ET qui vole des trucs dans la rue
– Celui qui casse tout ou dans ses meilleurs moments se contente de mettre la moitié du contenu de ton frigo au congél ou de croquer dans l’intégralité de la coupe de fruits
– Celle qui devient une vraie biatch des clips de MTV mit string option tortillement du fondement sur meuble
– Celui qui s’engueule avec tout le monde ET qui danse
– Celle qui finit la soirée avec un random testostéroné
– Celui qui vomit
– Celui qui mime le fist (oui j’ai des accointances bourrés de distincture)
– Celle qui danse la tektonik ET qui devient aphone
– Celui qui dort
Mes soirées parisiennes ne sont ni plus ni moins qu’un concentré d’élégance aromatisé fines herbes.
ben si c’était une histoire ? suite, fallait le dire, d’abord.
De toute façon il te reste les filles bourrées ? faire, puisque tout le monde s’en est tenu au garçons (sauf Came, hoouuu)
rohhh z’avez coupé l’herbe sous l’pied de l’Impératrice.
Pétroniiiiiiiiiille, il me reste des patates, vous r’prendrez bien un verre de vodka ?
J’en connais un qui parle, te lais pas en placer une mais réussi quand même ? s’imaginer que tu as tord, un autre qui s’amuse ? faire des paris idiots et aime ? casser les murs et les coins de meubles avec sa tête. Le dernier s’amuse ? faire des bol entiers de mayonnaise pour se les manger nature en juif dans son coin.
Comme nos soirées sont joyeuses !
Y a aussi le contemplatif. On ne parle jamais assez du contemplatif (probablement parce que c’est le seul de la liste qu’on ne voit pas et qu’on n’pas).
*n’entend
En même temps les hommes (ou femmes) ivres sont une réserve inépuisable d’exemple ? (ne pas) suivre… au risque de voir des vidéos de soi diffusée sur toituyau
"Celui qui parle
Celui qui parle beaucoup, en général, parle encore plus, bourré. Beaucoup-beaucoup. L’intérêt, c’est que t’es pas obligé de rester l’écouter, de toute façon il continuera ? parler tout seul. Pars ailleurs sans regrets ni tracas : il ne s’en rendra pas compte."
Alors voil? , ça c’est moi, oui je suis une fille mais quand même, je parle beaucoup, et je peux être en boucle quand je suis bourrée.
Et en fait, si, on s’en rend compte quand les gens s’ennuient et/ou s’en vont, mais on fait comme si de rien n’était, parce qu’on sait que ce qu’on raconte est très intéressant (si, si!) et qu’il faut absolument aller jusqu’au bout de la phrase. Après, on a un peu honte mais on fait toujours mine que rien, ça fout moins la honte que de s’énerver!
Zavez oublié le mec qui pleure sur la vie qu’elle est trop injuste et les femmes trop méchantes.
J’vous jure, que celui-l? , c’est le plus pénible de tous : on n’ose pas l’envoyer se faire voir ailleurs. Au début, on éprouve de la compassion, ce qui est une erreur. Si tu compatis, tu te le traînes comme un boulet toute la soirée, parce que le bourré-dépressif est une sangsue … Résultat : tu peux pas rigoler-papoter avec tes zamis, tu t’ennuies, tu déprimes et tu picoles plus que de raison.
Comme je fais hélas partie de l’avant dernière catégorie, j’ai fini par ne plus boire, histoire de ne pas rester éternellement célibataire
Sinon, on attend avec impatience la suite : une typologie des filles bourrées…
Y a aussi celui qui, ? chaque cuite, remet sa vie ? zéro ? grands coups de SMS.
Le lendemain, il se réveille sans même réaliser qu’il a demandé la copine de son meilleur pote en mariage, qu’il a envoyé des photos de son ex nue ? toute son équipe de rugby, qu’il a traité son boss de léopard puant, et qu’il a appelé sa mère en pleurs pour lui dire qu’il l’aimait.
Et Mollo il est dans quelle catégorie? (juste pour préparer une stratégie ? la prochaine soirée ? laquelle nous ne nous verrons pas car ne nous connaissons pas).
Michel : les filles ne sont jamais bourrées. Elles sont joyeuses, pompettes ou excentriques.
Rho oui pompette ! Huhu, c’est tutafait moi ça, pompette. Deux bouteilles de rouge, trois mojito, le digestif du patron et je suis pompette. Sévère, certes. Mais claaaaaaaaaaasse.
Ben : ou carrément qu’il demande son patron en mariage, qu’il envoie des photos de son équipe de rugby nue ? son ex, qu’il traite sa mère de léopard puant, et qu’il a appelle la copine de son meilleur pote en pleurs pour lui dire qu’il l’aime.
Ou versa-vice.
FarPaitement !
J’aime bien celui qui a besoin de s’aérer, je m’y retrouve assez bien ? vrai dire.
Sinon j’suis aussi celui qui aime tout le monde (même collègue playmobile), mais ça, j’ai parfois même pas besoin d’être bourré pour le devenir :ack:
Moi celui qui parle beaucoup me fait me plier de rire. Deux minutes. Quand je suis pas encore trop fonfon.
Non parce que moi, quand je suis fonfon, j’ai des pouvoirs de drague inégaltés, c’est marrant!
Ouè ouè, j’finis par bisouter un freluquet, le pote du freluquet qui est parti aérer son péni aux vécés. Faut que j’arrête de boire.
Pé-esse: Pétronille, je te love!