Lundi-bisou 2 7

C’est lundi de nouveau et je vous fais une thématique spéciale « crevez, crevez tous ». (Pas vous, mes bichons frisés. Les autres, là, le type douché au parfum qui pique, le métro qui pue et la personne qui a inventé les petites peaux qui font mal autour des ongles, que si t’y touche pas ça s’agrippe partout et ça fait mal, et si t’y touches ça fait mal aussi, mais pas pareil, mais aussi.)

D’abord, j’aimerais vous montrer ce rituel beauté fort sympathique, qui montre qu’on peut appliquer le « why the fuck not » à son quotidien, en toute simplicité. Deux culs d’oignon, un bout de collant, et ce qui semble être un oei de verre, et vous voilà prêt-e pour aller au bal. Pourquoi ? Et là je réponds : « et why the fuck not « ?

Tu la sens, là, la révolte qui gronde ? Tu la sens, la lassitude du peuple ? Tu la vois, la mouette de la Liberté qui te montre son CUL ?

(en fait je suis d’humeur chafouine parce que j’ai perdu un petit bout de dents, ce qui fait que : 1)il semblerait donc que je ne sois pas immortelle, ce qui est totalement inadmissible ; 2)j’ai mal à la langue à force de toucher l’arrête ; 3)mon magnifique sourire a perdu deux points. Et comme il est à ce stade outrancièrement dérisoire de compter sur la fermeté de mon cul pour accéder au pouvoir suprême, je ne vous cache pas que ça me contrarie).

Ouais. VOILA. Bon mais je ne veux quand même pas vous laisser là, les bras ballants, sans même un petit conseil de vie (je sais que je suis un peu une sorte de maître à penser. De philosophe des lumières, quoi. En toute modestie). Alors voilà ma recommandation :

Huhuhu, non mais je plaisante, RhooOoOo, allez. Je vous avais gardé une petite mignonnerie pour la fin.

Presqu’aussi adorable qu’un bébé paresseux en pyjamou.

Allez, birnu les zébus, bon courage.