La Semaine de l’Amour continue sur le Beulogue !
Figurez-vous qu’un fan bien intentionné m’a envoyé un lien magique vers les Plus Belles Déclarations d’Amour.
Rholala.
Tout cet amour, ça fait plaisir ? voir.
Fan bien intentionné : merci.
De Karine pour Franck
Ceux-l? , c’est le « k » qui les a rapprochés (ça, et leur haine commune pour les gens qui hurlaient « Eh caca ! » ou « Eh Francky, alors, c’est bon ? » dans la cour de récré).
« Mon Maçon du Coeur, nos coeurs battent ? l’unisson depuis que nous avons osé nous regarder avec les yeux de l’Amour.
Les maçons du coeur, pour te donner une idée, ce sont des gens fous qui débarquent chez toi, rasent ta maison et reconstruisent tout en contreplaqué qui brille. Genre D&CO, en pire, même comparé ? ça et ça . Je te laisse savourer la métaphore, Galaxie. Par ailleurs, si quelqu’un peut me donner en commentaire la définition des « yeux de l’amour » ? Est-ce que c’est une forme de cataracte ?
C’était l’été, depuis c’est toujours l’été dans mon coeur.
Ce qui est une bonne nouvelle, surtout si son amoureux a rasé sa maison. Dormir dehors, c’est mieux l’été.
Tu es le plus Mamourable des hommes que je connaisse !
Je me délecte. J’attends avec impatience que le managériat s’empare de ce concept formidable. Après « t’es pas corporate » ; « t’es pas très team leader », on pourra désormais se faire reprocher en entretien annuel : « t’es pas mamourable. «
Quand j’ai pris ta main c’est un bonheur tout entier qui m’a enlassée.
En fait Frank a le bras mou ; du coup Karine pensait que le bonheur l‘enlassait alors que c’était juste son Francky qui lui palpait la croupe.
Je pourrais écrire des milliers de mots pour décrire notre Amour !Heureusement Malheureusement, elle ne dispose que d’un espace limité, quel dommage !
Je t’en écris 2 vieux comme le Monde : « Je T’aime » mon bisoutier bien aimé, mon radiateur ? énergie sentimentale, mon souffleur de rêves, et + car beaucoup d’affinités !
»Alors : 1) ça fait 3 ;
2) bisoutier, ça existe pas comme métier, je sais parce que Mollo voulait utiliser ses points DIF pour se reconvertir ;
3) ça sert ? rien de chauffer au radiateur si on a rasé ta maison, et les pingouins alors ?! ;
4) le premier connard qui passe la nuit ? me souffler dans la tronche alors que j’essaye de dormir va s’en prendre une dans le nez ;
5) ça se fait pas de parler de ses affinités en public, bravo l’éducation, vive la France.
Ton tendre Amour. »
Luc ? La femme de ma vie
« Je ne suis qu’un mot sur tes lèvres, une trace, une empreinte, l’idée que l’on se fait des choses, si peu, mais tellement.
= Je suis un gros relou, un peu, passionnément, je fais des faux poème un peu, un jour, mais pourquoi, si loin si proche, RHAAAAA.
Je suis le vent,
Par respect pour tous ceux qui croient ? l’Amoure, je ne m’étendrai pas sur la dangerosité de venter en présence de l’être aimé.
je suis un loup,
Je suis en NOIR ! (Comment tu copies toi, tu crois qu’on t’a pas grillé ?)
mes pas sur tes pas,
Tout ce bordel pour finir par lui marcher sur les pieds, bien joué, Scoobi.
je suis ton verbe. »
… peut-être, allons, mais où, ta main dans mes pas et mon nez sur ta joue, je regarde les feuilles tu es mon subjonctif conjuguons ensemble les couleurs de l’Amoure -eh C’EST BON, moi aussi j’peux l’faire.
Et parce que je t’apprécie, galaxie, je te laisse analyser la dernière.
Show it to me, baïbi.
De B. pour Hugo
« Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
Remonter demain, en cherchant ta main.
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
Et courir, courir. »
preums juste pour rire
Prumier !
voila ça c’est fait, j’vais aller déguster le bille’t (matinal!) du jour
Damned ! Coiffé sur le fil !
… bon ben, deuzio alors …
… maintenant que j’ai lun je vais aller rendre mon petit déj’ ? dame nature.
Et pour les yeux qui saignent, vous avez un truc ?
Journée pourrite …
… maintenant que j’ai lun je vais aller rendre mon petit déj’ ? dame nature.
Et pour les yeux qui saignent, vous avez un truc ?
Journée pourrite …
LU pas lun …
C’est dire si je suis déstabilisé …
LU pas lun …
C’est dire si je suis déstabilisé …
troizz !
troizz !
Ok c’est parti pour l’analyse de la lettre de Brunaigonde ? Hugo:
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
Alors toi direct pour un premier rendez-vous tu l’emmenes faire du saut ? l’elastique, c’est pas commun…
Remonter demain, en cherchant ta main.
Ah heu… mais tu le laisses attaché comme ça toute la nuit?
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
Mais vas le décrocher la!!!
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
Ouai bah ta interet ? aller te cacher au fin fond du Costa Rica si tu veux pas qu’il te retrouve!
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
oui bah 24h la tête en bas aussi j’aimerai t’y voir tiens…
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
Mouai toi aussi ta tête est toute retournée…
Et courir, courir.
Ouai c’est ça casse toi! Moi j’vais essayer d’aller décrocher le pauvre Hugo.
Conclusion: Non la foire du Tône n’est pas une option pour un premier rendez-vous.
Ok c’est parti pour l’analyse de la lettre de Brunaigonde ? Hugo:
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
Alors toi direct pour un premier rendez-vous tu l’emmenes faire du saut ? l’elastique, c’est pas commun…
Remonter demain, en cherchant ta main.
Ah heu… mais tu le laisses attaché comme ça toute la nuit?
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
Mais vas le décrocher la!!!
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
Ouai bah ta interet ? aller te cacher au fin fond du Costa Rica si tu veux pas qu’il te retrouve!
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
oui bah 24h la tête en bas aussi j’aimerai t’y voir tiens…
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
Mouai toi aussi ta tête est toute retournée…
Et courir, courir.
Ouai c’est ça casse toi! Moi j’vais essayer d’aller décrocher le pauvre Hugo.
Conclusion: Non la foire du Tône n’est pas une option pour un premier rendez-vous.
J’aurais jamais pensé a mettre le verbe Vomir dans un poueme d’amoure mais bon…
J’aurais jamais pensé a mettre le verbe Vomir dans un poueme d’amoure mais bon…
Wéééé, l’Impératrice nous laisse jouer aussi !
Je me laisse le temps d’y réfléchir avant d’interpréter
Wéééé, l’Impératrice nous laisse jouer aussi !
Je me laisse le temps d’y réfléchir avant d’interpréter
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
Bérénouille voulait faire des choses sales avec Hugo dans l’ascenseur. Et voil? que les câbles ont lâché. A force de jouer avec le bouton stop, j’ai envie de dire, fallait s’y attendre.
Remonter demain, en cherchant ta main.
Par l’escalier, donc. Oui, ils ont continué leurs cochonneries ? la cave toute la nuit et c’est seulement maintenant qu’ils retournent en réunion. Nooon Bérénouille, personne ne va s’en rendre compte.
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
En fait elle regarde le croupier de Hugo qui se balance dans l’escalier. Mais ça fait plus pouétique dit comme ça.
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
= Comme la réunion était finie depuis hier 19h30, ils n’ont plus trouvé personne. Direction le bar le plus proche, où on va bzwoire pour ougzblier, hips.
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
C’était le verre de trop cette vodka-petits pois, mais heureusement Hugo est l? pour lui tenir les cheveux.
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
Bérénouille s’est fait pote avec les videurs du bar.
Et courir, courir.
Ah, en fait non.
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
Bérénouille voulait faire des choses sales avec Hugo dans l’ascenseur. Et voil? que les câbles ont lâché. A force de jouer avec le bouton stop, j’ai envie de dire, fallait s’y attendre.
Remonter demain, en cherchant ta main.
Par l’escalier, donc. Oui, ils ont continué leurs cochonneries ? la cave toute la nuit et c’est seulement maintenant qu’ils retournent en réunion. Nooon Bérénouille, personne ne va s’en rendre compte.
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
En fait elle regarde le croupier de Hugo qui se balance dans l’escalier. Mais ça fait plus pouétique dit comme ça.
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
= Comme la réunion était finie depuis hier 19h30, ils n’ont plus trouvé personne. Direction le bar le plus proche, où on va bzwoire pour ougzblier, hips.
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
C’était le verre de trop cette vodka-petits pois, mais heureusement Hugo est l? pour lui tenir les cheveux.
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
Bérénouille s’est fait pote avec les videurs du bar.
Et courir, courir.
Ah, en fait non.
"Vomir les poids, ta main sur ma nuque."
C’est marrant, ça m’évoque juste ces vers d’Apollinaire :
"Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique"
Aaaaah, l’amour !
P.S. : Je suis fan du radiateur ? énergie sentimentale !
"Vomir les poids, ta main sur ma nuque."
C’est marrant, ça m’évoque juste ces vers d’Apollinaire :
"Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique"
Aaaaah, l’amour !
P.S. : Je suis fan du radiateur ? énergie sentimentale !
"Tomber ensemble, dans un trop plein de néant(…) Vomir les poids, ta main sur ma nuque."
Ça sent l’indigestion de mac do mangé en 30" avant de se coucher, ça !
Si si, j’ai vécu et c’est exactement ce que ça m’a fait.
"Tomber ensemble, dans un trop plein de néant(…) Vomir les poids, ta main sur ma nuque."
Ça sent l’indigestion de mac do mangé en 30" avant de se coucher, ça !
Si si, j’ai vécu et c’est exactement ce que ça m’a fait.
Ayé, j’ai tout compris !
De B. pour Hugo
-> Mais mais mais quel est ce souffle qui m’attire ? Quel est ce vide qui m’aspire ? OH MON DIEU, QUELLE HORREUR !
Un cerveau d’adolescente *tremble*
Car B. pour Brenda, bien sûr.
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
-> "un trop plein de néant", c’est beau mais ça ne veut rien dire. Les plus littéraire de la Galaxie m’opposeront que Baudelaire l’a fait, mais Brenda n’est pas Baudelaire.
(A moins que… Si ? On m’aurait menti ?)
Remonter demain, en cherchant ta main.
-> Brenda quand elle tombe ne remonte que le lendemain. A se demander si le trop plein de néant ce ne serait pas son lit. (Roooh, la Galaxie, franchement. Cest pas cochon. Quand vous vous effondrez après une dure journée de gland travail, vous vous relevez avant demain ? Non. Bah Brenda non plus. Cest juste quelle dort dans un caveau plutôt que dans un lit Ikea.)
Ou alors elle remonte demain comme on remonte une horloge, réclamant la main de son choupinet parce que le ressort de demain est trop dur pour ses petites mimines.
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
-> Le vent dans le néant ? Nan, c’est comme dans l’espace, c’est pas possible. Le vent dans son lit ? Si ça se trouve, c’est une copine de Karine et elle aussi elle a plus de maison. Ou alors la théorie du caveau était la bonne (cest plein de courant dair un caveau)
Ou alors c’est le vent dans sa tête.
Oh, oui, c’est ça, Brenda a amené Hugo sous son crâne ! (car comme Brenda est un peu conne elle n’a pas compris qu’il voulait aller sous sa couette plutôt. Surtout qu’il fait froid dehors/dans le caveau)
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
-> Imaginez. Vous êtes prof. Ou parent. Vous posez une question ? un adolescent. Que répondra-t-il ?
"Chais pas"
Dans une cervelle adolescente, personne ne sait rien. CQFD
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
-> Bourrée ou boulimique ? Les deux ? Et tu veux que ton choupichou t’encourage dans cette voie Brenda ? Tsss…
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
-> L? si on fait de l’archéologie syntaxique on voit bien que "les" c’est les poids. Bon, l? clairement il y a boulimie. Brenda guérit grâce ? son roudoudou, elle comprend enfin qu’elle n’a pas ? avoir peur de ses bourrelets, qu’elle ne doit pas avoir honte de son corps. Elle accède enfin ? la Vérité ultime :
LE GRAS, C’EST LA VIE.
Elle a grandi, elle est adulte, elle s’assume…
Et courir, courir.
-> Ah non, merde. En fait elle s’est mise au sport.
Ayé, j’ai tout compris !
De B. pour Hugo
-> Mais mais mais quel est ce souffle qui m’attire ? Quel est ce vide qui m’aspire ? OH MON DIEU, QUELLE HORREUR !
Un cerveau d’adolescente *tremble*
Car B. pour Brenda, bien sûr.
Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
-> "un trop plein de néant", c’est beau mais ça ne veut rien dire. Les plus littéraire de la Galaxie m’opposeront que Baudelaire l’a fait, mais Brenda n’est pas Baudelaire.
(A moins que… Si ? On m’aurait menti ?)
Remonter demain, en cherchant ta main.
-> Brenda quand elle tombe ne remonte que le lendemain. A se demander si le trop plein de néant ce ne serait pas son lit. (Roooh, la Galaxie, franchement. Cest pas cochon. Quand vous vous effondrez après une dure journée de gland travail, vous vous relevez avant demain ? Non. Bah Brenda non plus. Cest juste quelle dort dans un caveau plutôt que dans un lit Ikea.)
Ou alors elle remonte demain comme on remonte une horloge, réclamant la main de son choupinet parce que le ressort de demain est trop dur pour ses petites mimines.
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
-> Le vent dans le néant ? Nan, c’est comme dans l’espace, c’est pas possible. Le vent dans son lit ? Si ça se trouve, c’est une copine de Karine et elle aussi elle a plus de maison. Ou alors la théorie du caveau était la bonne (cest plein de courant dair un caveau)
Ou alors c’est le vent dans sa tête.
Oh, oui, c’est ça, Brenda a amené Hugo sous son crâne ! (car comme Brenda est un peu conne elle n’a pas compris qu’il voulait aller sous sa couette plutôt. Surtout qu’il fait froid dehors/dans le caveau)
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
-> Imaginez. Vous êtes prof. Ou parent. Vous posez une question ? un adolescent. Que répondra-t-il ?
"Chais pas"
Dans une cervelle adolescente, personne ne sait rien. CQFD
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
-> Bourrée ou boulimique ? Les deux ? Et tu veux que ton choupichou t’encourage dans cette voie Brenda ? Tsss…
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
-> L? si on fait de l’archéologie syntaxique on voit bien que "les" c’est les poids. Bon, l? clairement il y a boulimie. Brenda guérit grâce ? son roudoudou, elle comprend enfin qu’elle n’a pas ? avoir peur de ses bourrelets, qu’elle ne doit pas avoir honte de son corps. Elle accède enfin ? la Vérité ultime :
LE GRAS, C’EST LA VIE.
Elle a grandi, elle est adulte, elle s’assume…
Et courir, courir.
-> Ah non, merde. En fait elle s’est mise au sport.
Ninita> CLAP CLAP CLAP !
Aurélien, Gertrude, Ninita : vous sontez de plusse en plusse fous !
La Pétronillite aiguë serait-elle contagieuse ? Et si oui (ce dont je doute de moins en moins), par quel vecteur ?
Perplexitude infinie …
Ninita : bon sang mais c’est bien sûr, j’y aurais jamais pensé ! Un poème d’amour de Baudelaire ? Victor Hugo !
Groumpff : ne doutez plus. L’impératrice a le pouvoâââre de contrôler les cerveaux. Inclinez-vous devant sa puissance !
Ben > Je dédie cette réussite ? Brenda, grande poéteuse devant l’éternel et ? mes cours de poétique qui ont enfin servi ? quelque chose.
Groumpff > Je penche pour le vecteur "boulot tueur de cervelle"
Y’a un truc que je pige pas.
L’amour rend aveugle qu’on dit, mais alors que sont ce que ces yeux de l’amour ? Des yeux qui sont aveugles ? (des yeux peuvent ils être aveugles ?).
Comme se regarder avec ces yeux s’ils ne voient pas.
Nan mais y’a vraiment un truc pas cohérent.
Comme vous êtes forts !
C’est pas « nous regarder avec les yeux de l’Amour », c’est « regarder les Feux de l’Amour ».
oh ça va Betronille, on t’a reconnu
De B. pour Hugo
Déj? si elle cache son nom c’est que soit elle s’appelle Bernantrude, ou alors plutôt dans les Bertrand ou Bernard.
"Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
(Tomber ensemble dans l’alcoolisme en descendant au bar des Joyeux Soulards)
Remonter demain, en cherchant ta main.
(Emerger le lendemain dans un lit inconnu, l’haleine de boudin mort et chercher voir si y’a pas les clefs de la super-cinq dans la main de son compagnon de matelas)
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
(en essayant de se souvenir des garçons présents au bar et duquel avait ce genre de cheveux. En espérant qu’il s’agit bien de celui avec lequel on avait décidé de tomber ensemble, dans un trop plein de néant (et en en passant essayer de se souvenir pourquoi la fenêtre est cassée et le canapé sur le balcon avec un biker effondré dedans ? cuver sa bibine. D’où le courant d’air dans les cheveux) )
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
(Aller au taf par exemple, Bernantrude étant stagiaire, personne ne se préoccupe de connaître son nom. Et Bernantrude étant stagiaire, elle peut s’affaler sur sa chaise pour profiter de sa gueule de bois tranquille en faisant semblant de corriger le compte rendu de la dernière réunion)
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
(Bernantrude est forcée d’aller expulser le trop plein de néant aux toilettes du deuxième mais heureusement une bonne âme lui tient les cheveux. L’espoir n’est pas perdu pour l’humanité, puisqu’il y’a encore quelques bonnes âmes)
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
(Grâce au citrate de béthaïne Bernatrude a réussi ? apprivoiser les nausées. Donc faute d’accord : les avoir apprivoiséEs.)
Et courir, courir."
(pour éliminer l’alcool, rien de tel qu’un bon footing. Un esprit sain dans un corps sain.)
A la réfléxion, je me demande si on peut une autre analyse de ce poème sans tomber dans l’alcool et la boulimie. Comment cette nana a pu s’imagniner qu’elle imageait bien l’amour ?
imagniner : c’est mignon comme verbe…
Galaxie, vous enjolivez mes yeux et mon petit coeur avant que de partir ? la Grande Réunion Maudite.s
Les yeux aveugles de l’amour, ce serait pas une métaphore filée en référence ? Héra qui pris les 100 yeux d’Argos ?
Ah non ? Le CAP truelle n’a pas fait option mythologie ?
J’ai envie d’essayer moi aussi :
De B. pour Hugo
> B. c’est pour rester anonyme (et quand on lit la suite on comprend mieux pourquoi)
"Tomber ensemble, dans un trop plein de néant.
> le trop plein de néant : si ça c’est pas une bonne définition des sky*blogs_kikoolol_paillettes_paillettes_lortograffe_é_roi en tous cas c’est proche donc en fait la rencontre s’est faite en ligne! et ensuite "tomber ensemble" (car il est bien connu : si l’un de nous tombe tout le monde tombe c’est beau non ?! ou alors très maladroit façon dominos humains) leur point commun c’est la maladresse extrême.
Remonter demain, en cherchant ta main.
> mais c’est pas la peineuh y a pas de mains par le ninternet, tout au plus des webcams …. sauf si ils se sont fixé rendez vous (et dans ce cas il faudra bien choisir hein)
Regarder tes cheveux, qui se balancent sous le vent.
> ah bah oui ils se sont fixé rendez vous : c’est dangereux ça on sait pas sur qui on peut tomber (attention les enfants faut pas faire ça!!)! Bon cette fois par exemple le rendez semble fixé sur un bateau avec plein de vent vu qu’on a vu qu’ils sont maladroits et tombent en groupe c’est pas l? qu’il fallait aller mais soit)
Chercher la liberté, l? où personne ne sait nos noms.
> bin oui ils se connaissent que par des pseudos : la beauté de l’anonymat du web c’est aussi ça (d’ailleurs Pamela peut être Robert et Hugo n’est peut être pas ce qu’il prétend)
Vomir les poids, ta main sur ma nuque.
> quand on n’a pas le pied marin on se fixe pas rendez vous sur un bateau ! après on se retrouve avec un inconnu dont on n’est même pas sûr du nom véritable mais au moins il est sympa et te tiens les cheveux quand tu vomis les pois que tu as mangé (? propos y a pas de "d" ? pois)
Ne plus les craindre, les avoir apprivoisés.
> apprivoisés n’est pas le terme exact dans ce cadre l? : les inconnus ont juste voulu être gentils mais je pense que dès que le bateau aura accosté ils vont fuir loin très loin et ne jamais chercher ? savoir qui est qui dans cette histoire
Et courir, courir."
> bin voil? qu’est ce que je disais : ils sont arrivés ? terre et tu ne les reverras jamais et c’est de ta faute puisque tu as mal choisi le lieu !
j’ai évité la cuite et la boulimie!
merci ? vous Impératrice pour cette semaine de l’Amour !
Birnu ? tous