du travaillement, ahah, tu pensais que tu étais seule sur le créneau ? Malheureusement, pas.
Non, j’ai trouvé pire que toi.
Car certes tu es moche, certes, tu fais du bruit et quand tu ouvres ta bouche, j’ai envie d’enfoncer tes pieds dedans – tes pieds moches cela va de soi.
Mais tu ne fais de mal ? personne que j’aime.
Bon des fois tu fais du mal aux oreilles de Satana, mais elle a des oreilles tellement petites que ça lui fait pas vraiment mal. (De toute façon, elle te hait tellement avec son petit cur miniature que ça lui fait comme une toute petite carapace de mépris et de mauvaise foi, mais comme c’est tout petit, c’est siiiiii mignon)(j’ai failli être lesbienne de petites)(mais finalement non)(putain, elle sont trop RELOUS).
Donc, dégage, casse-toi, pars bouger ton booty pas en rythme en disant « nananahihihi » pour bien convaincre le monde entier que les filles sont profondément débiles, va ailleurs, I have some serious business to deal with.
Quand je parle italien, c’est que j’ai un coup de nez et qu’il faut carrément pas fucker con migo, t’as vu.
Gros.
Bref.
Chère connasse numéro 2, donc.
Je ne t’ai jamais vue, parce qu’en fait j’avais pas du tout envie et ce qui est bien c’est que j’ai le droit de le dire maintenant, et que le créneau est passé Dieu existe. Il a vraisemblablement l’allure d’une jatte de rillettes, mais il existe.
Je comprends le quotidien.
Je comprends qu’on puisse ne plus aimer -si vous avez une idée de quelque chose de plus triste hésitez pas ? me l’indiquer.
Je comprends qu’on puisse aimer ailleurs, plus, pas pareil, soudain.
Je comprends qu’on puisse se réveiller un jour et réaliser que l’odeur de cette peau qui nous faisait tout oublier, jour après jour, n’est plus qu’un souvenir ténu, que la personne qui est l? , ? côté, qui vous aime ; on ne la sente plus, et qu’on décide de se barrer avant de ne plus pouvoir la sentir.
Tout ça, oui, d’accord.
On fait ce qu’on peut.
Je comprends moins de gérer ça comme la dernière des tâches.
De partir forcément pour quelqu’un d’autre, parce que tu sembles incapable de te gérer seule.
De partir en ninja -mais une sorte de ninja tout pourri qui ferait des stratégies hyper nazes qu’un panda myope et tétraplégique pourrait contrer.
De se la jouer fleur des champs qui fait mine de ne pas comprendre qu’elle pète du napalm et qu’elle ruine tout sur son passage.
Fuck ? la fin.
Pardon, Baisar ? la enda.
Un PREUUUM’S retentissant. ça faisait longtemps.
Preums ?
Deuuuuuzzzz
"Je comprends qu’on puisse aimer ailleurs, plus, pas pareil, soudain."
Huhuhu.
troizzzzzzzzzzzzz
ah tiens… vous la connaissez aussi ?! si vous voulez on fera une descente ensemble !
quatrzzzz
c’est joliment dit en tous cas!
Et discrétement on a un portrait de plus en plus net de Satana (petit mais net:p)
"Je comprends qu’on puisse ne plus aimer -si vous avez une idée de quelque chose de plus triste hésitez pas ? me l’indiquer. "
Plus triste ? : mendier quelques miettes d’amour ….
C’est joli, mais j’ai pas bien tout très compris.
Mais c’est pas votre faute hein, cette nuit j’ai rêvé que je prenais l’ascenseur pendant une panne d’electricité, du coup je me faisait du thé et un poney me fonçait dessus.
Comme ça se passait au boulot et que je suis en route, je suis toute concentrée sur ce qui m’attend.
Mais bon, du coup je vois pas bien de qui vous parlez, c’est une counasse qui a quitté Satana parce qu’elle sentait mauvais?
Moi je comprends pareil que toi Petitechose… Et pas sûre d’avoir bien compris non plus !
Le truc très obscur c’est quand même : où ça se l’italien ??
J’ai rien compris de l’évolution de ce qui se passe dans la vie de l’Impératrice divine (et ça fait déj? quelques billets que je suis perdu…. mais ça c’est normal je suis pas une fille).
J’aime beaucoup la façon dont vous parlez l’italien quand vous êtes en colère impératrice. C’est un italien particulier mais qu’on comprend plutôt facilement.
Pour en revenir au problème on pourrait qualifier cette nouvelle connasse de "connasse profonde"
Je dis pas ça méchamment, hein, mais faut arrêter de penser que la timeline du Beulogue suit celle de ma vie (par exemple, l? on dirait que je suis bourrée tout le temps, OR, c’est juste que j’ai absolument pas le temps et que je vous refourgue des billets d’il y a six mois, que j’avais pas mis en ligne parce que je trouvais que c’était pas top -mais bon ? un moment, quand vraiment il n’y a pas d’inspiration, les critères baissent)
Voui-voui-voui …..
Bin, je vais aller me faire griller un steak de poney avec des nouilles, passque, moi je dis jamais pââââtes, juste pour faire chier les italiens.
Ceci était un commentaire vachement constructif.
Mais j’ai l’moral au 2ème sous-sol.
Du câlin, chère Tropiques, vous qui êtes loin-loin et qui mangez des nouilles.
A pas bien compris le billet, même en supposant une perturbation du continuum spatio-temporel. Mais il m’a quand même fait rire, surtout le passage en italien.
Déj? que je confonds l’italien et l’espagnol (j’avais pris option italien l’année passée, puis espagnol cette année; ne faites JAMAIS ça, ça fait partie des choses qui sont des très mauvaises idées), m’embrouillez pas plus impératrice! Je suis censée me rentrer les "conmigo, contigo, patati patata" dans la tête pour lundi, et c’est pas trop marrant.
Moi j’ai cru que c’était une connasse qui faisait un peu mal ? Satana mais pas trop parce que Satana est une ninja (une tortue ninja, même, avec une carapace), mais que cette connasse était moins connasse qu’une autre qui n’aimait plus un gars (ou une fille, je sais pas, ça la regarde), et qu’elle s’est cassée avec quelqu’un d’autre en abandonnant le premier comme une chaussette périmée. Et l’impératrice trouve ça dégueulasse (et je suis d’accord avec elle).
(j’ai la vague impression que mon explication est encore moins claire que le billet…)
Et moi aussi je vous fais du câlin, Tropiques. Avec des vrais morceaux de chocolat dedans. Parce que le chocolat c’est le bien et ça remonte le moral.
@Tropique : ici franchement et sans aucun parti pris la nouille n’a pas cours… ils ont encore de la vraie bouffe délicieuse, pas cachée sous une sauce et ? des prix incroyables.
Bon je dis ça faut venir goûter – au quotidien – pour y croire
Sinon cette connasse2 j’ai un peu de mal ? la cerner surtout si elle pète du napalm
(avec une bière de moins mon cerveau serait peut être plus alerte)
Le virtuel, avec des vrais morceaux d’empathie dedans, c’est plus réconfortant que les regards fuyants qui évitent vos yeux cernés de larmes.
Je vous birnute tous.