(j’ai vachement hésité sur le titre. « Partouze antique » ça me semblait compliqué, I cur le Führer aussi, et pis y’a des limites ? la blagounette nazie quoi)(bon).
Bref, je vous raconte.
Alors donc, Erika se trouve « dans les baraquements affectés au personnel de l’Etat-Major de la VIIè armée. » L? , son activité consiste principalement ? enlever son slip pour écouter les discours du fureur-moustache sur fond de Wagner.
Ensuite elle remet son slip et elle range ses camarades de chambrée par ordre alphabétique -car Erika aime l’ordre et s’agenouiller avec ses guenoux « ronds et polis comme le marbre » et se tenir « cambrée comme un arc ».
De temps ? autres, le clairon retentit.
C’est trépidant -et claironnant.
Les filles qui ont vraiment du bol partent dans le Lebensborn « s’accoupler avec l’un des représentants mâles du « Herrenvolk » « , mais Erika ne veut pas.
Non pas parce que la perspective d’être utilisée comme un utérus sur pattes qui met au monde la nouvelle génération d’Homo germanicus perfaits la révolte, ohlala, mais noooon ; Erika veut pas parce qu’elle est amoureuse du fureur-moustachu.
Ce qui ne l’empêche pas (que les divinités qui président ? la littérature érotique bas de gamme et au cliché lesbianique de base en soient remerciées), de se frotter avec enthousiasme contre sa copine Leni Hoffer, « jeune fille aux traits assez rudes, ? l’allure garçonnière » (la lesbienne ressemble ? un homme, tout est bien au pays de la saucisse).
Sinon, quoi d’autre ? Ah oui : elle a des cheveux blonds qui lui descendent jusqu’au creux des reins (ce qui a l’air hyper classe et érotique comme ça mais signifie surtout que tu as tendance ? t’asseoir sur tes cheveux aux toilettes, ce qui présente fort peu d’avantages et constitue un risque de cheveux en caca assez élevé), et dès qu’on lui annonce une bonne nouvelle, Erika « sent sa poitrine se gonfler ».
L? j’en suis ? la page 18, si elle a la nichonnade qui enfle dès qu’on lui parle du fureur-moustachu, d’ici ? la fin de la première partie la pauvre Erika devra se balader en portant ses seins (pardon, ses « deux globes charnus, d’une blancheur laiteuse ») sur une brouette (aryenne).
Preum’SSSSSSSSSSS
Et bien je dois dire, que d’aventures en 18 pages…
Haaan, je suis tout ça de près avec du palpitationnage cardiaque terriblement intense…
"elle a des cheveux blonds qui lui descendent jusqu’au creux des reins (ce qui a l’air hyper classe et érotique comme ça mais (…) constitue un risque de cheveux en caca assez élevé)"
Mouhahahahah… Cheuveux en caca ! Mouhahaha!!
deuzzzzz
troiz !
la suite, la suite ! que de rebondissements erotico-rocambolesques dites donc !
l’esprit de jeannine nous vienne en aide, je suis tout suspensionné…
sinon, j’aime assez le concept de cheveux-de-caca.
En 18 pages, elle a déj? fait preuve d’un sens de l’organisation sans faille, et a eu moult palpitations mammaires ?
Cette Erika vaut son pesant de cacahuètes !
(dieu que j’aimerais avoir des genoux ronds et polis)
En fait si je comprends bien, les discours du Furher était un peu comme les numéros surtaxés de Lola Forte-Poitrine, Baise-Moi25 et Sucky Ginger… Je comprends pourquoi il a eu autant d’adeptes…
Moi, ce qui me fait rire, aussi, c’est les tournures bizarres: "cambrée comme un arc" et "allure garçonnière", mmmmmm vous êtes sûrs-sûrs, les gars?
Quelle trouvaille, ce bouquin!
J’aimerais bien voir ? quoi ça ressemble, des genoux ronds et polis comme le marbre. D’habitude les genoux sont plutôt des trucs pleins de creux et de bosses moches. M’est avis qu’elle a une phlébite en phase terminale et qu’elle est même pas au courant. Mais le Fourreur va pouvoir l’opérer et la sauv… ah pardon non, ça c’est un autre type de roman érotique de gare…
Ouah mais c’est vraiment une trouvaille de malade ce livre. Pour les genoux "rond et polis comme le marbre" je pense qu’ils sont polis ? force de s’agenouiller, que ce soit pour laver par terre (avec son sens de l’organisation qui la caractéristique) ou pour d’autres folichonneries avec sa copine garçonne
… Ou alors ils vont exploser?
(pardon, je parlais des "deux globes charnus, d’une blancheur laiteuse")
J’ose ? peine imaginer le quintal de distance salvatrice qu’il faut pour chroniquer un truc pareil. Bravo, Impératrice, et gardez le contrôle de vos nerfs… La Galaxie est derrière vous !
(@Gertrude: le Fourreur, huhuhu. J’ai pas osé la faire…)
Et moi qui me croyait seule dans le mépris des cheveux au del? du bassin !! APRES ON S’ASSOIT DESSUS C’EST EVIDENT et ils en ressortent forcément fourrés au caca de toi même ou de pigeon en cas d’assise en extérieur, ou au minimum d’un IMMONDE TAPIS BACTERIEN HYGIENOPHOBE :O
Euh, je pige pas.
Pourquoi elle enlève son slip, pour écouter des discours sur fond de Wagner?
Hin?
Blancheur laiteuse, ouais, pour des seins, c pas chercher bien loin…
@Punaiz : ben le Wagner ? fond ça refait ta coiffure, c’est bien connu ; donc l? elle avait peut être le pubis emmélé.
Sinon sur cette histoire de cheveux au toilettes, c’est peut-être fait exprès, car pendant la guerre il y avait souvent pénurie et donc sans doute plus de papier.
Tiens, j’avais pas remarqué, c’est rigolo : elle a les genoux comme les seins (sphériques et colorimétriquement désavantagés). Huhuhu.
Diable, qu’est qu’on raconte comme conneries dans ce fil ; heureusement que c’est bientôt le week-end, sinon ça aurait mal fini
Aaaah mais donc SS, en fait, aucun rapport avec la taille du bikini.
@Lama Bleu: En même temps c’est cette cousine germaine de tata jeannine qui a commencé avec ses genoux en marbre et ses cheuveux en caca…
(et comment ça je mélange tout!?)
Meuh non on s’assoit pas sur ses cheveux quand ils tombent dans le creux des reins et qu’on doit faire caca. On les fout sur la nichonnade abondante et pi tout va bien.
(Fichtre, Namoureux qui commente sur le Beulogue. Quel code de conduite appliquer dans ce cas ? Tata Ginette, au secours !)
Sinon je constate que la blague du bouledogue est touzours inconnue de la Galaxie…
\o/
C’est qui ton namoureux, Ninita ?
C’est moi.
Willkommen, Jamic !