» Si ça démange, il faut se gratter. C’est naturel, et c’est ce qu’on fait. «
Aaah garçon.
Comment veux-tu qu’on te prenne au sérieux ? Hum ? Alors que tu refuses de dire les choses ?
Le scientifisme, garçon, c’est de nommer le monde ! Si tu nommes nicht, tu étudies comment ? Dans les labos, tu crois que les gars ils étiquettent « Expérience Truc, tube ? essai quarante-douze » ? » Recherche sur le machin, protocole 2.3″ ?
Nan, mais la science c’est pas un truc de rigolos, j’te f’rais dire.
Ce dont tu parles, garçon, c’est de ton appareil génital. Soit le combo bite et couilles, si tout va bien. Comment ça je répète bite et couilles ? n’en plus pouvoir histoire d’attirer les zinternautes keukins ? C’est la science ici, on dit les choses.
Garçon, crois bien que la fille partage ta douleur.
Car si ton appareil génital propose quelques plis, il est ? 50% tubulaire huhu, j’aime bien tubulaire, comme mot.
Sans doute est-ce l? le reflet de ta propre nature de tube-? -caca, sur le modèle bien connu de » miam, c’était bon ! Bon, je dois aller faire caca maintenant. »
La fille n’a rien de tubulaire.
La fille a le génital constitué de couches.
Chaque couche tentant chaque jour le tout pour le tout pour se coincer et se piqueter dans les culottes, les jeans, voire dans les autres couches.
Chaque couche comportant autant de centimètres carrés et de replis qui sont d’autant plus susceptibles de gratter horriblement que la fille des fois s’arrache la fourrure protectrice mit cire chaude. Oui, garçon, ça fait très très mal. Et dès que ça a fini de faire mal ça commence ? gratter.
Or, étrangement, tu ne vois pas la fille se rajuster le génital sous prétexte de se gratter vaguement. D’ailleurs, tu ne la vois pas non plus se gratter, pas même vaguement.
Tu vois, garçon, cette nouvelle assertion absurde me donne l’occasion d’aborder une question importante. La notion de « Pas Devant Les Gens ».
Garçon, tu vois, ce qui est un peu désespérant je vous préviens je viens de découvrir le « barré » vous zavez pas fini d’en manger fatiguant, c’est qu‘a priori cette notion de » Pas Devant Les Gens « a déj? été abordée. Tu ne t’en souviens sans doute pas (sinon on ne serait pas l? ), mais de nombreux facteurs de fuite de la fille ont déj? été éliminés par ta manman.
Ta manman t’a dit très tôt ces évidences de la vie en société pour lesquelles elle a ensuite culpabilisé durant des années, parce que gnagnagna la castration et blablabla la frustration de la masculinité. Alors que clairement :
- Touche pas ton zizi ;
- Mange pas tes crottes de nez ;
- Fixe pas les gens ;
ça me semble le minimum.
Attentions. Ces trois règles de base impliquent directement deux challenges intellectuels.
Le premier : les intégrer.
Certes, je sais que les garçons qui assistent ? ce cours ont tout de même atteint un certain niveau.
Certes soit Gonzague consent, désolée c’est comme Nitch pitch for the Bitch je suis obligée de le dire.
En même temps, si tous les garçons avaient intégré ça, personne ne fixerait ma nichonnade dans le métro, ni ne me montrerait son kikimoche au débotté et au tournant d’un couloir de RER, ni ne se curerait le nez avec délices dans le bus. (Le transport en commun étant, étrangement, le lieu privilégié où le garçon fait des bêtises).
Le second : comprendre que le sous-texte est « Pas Devant Les Gens« .
Bien sûr que non, la fille ne s’attend pas ? ce que tu cesses de jouer avec ton zizi (mais avec quoi jouerais-tu, pauvre de toi ? ) ; que tu arrêtes de mater les autres filles dans le métro (le but étant de le faire mit discrétion si vraiment tu ne peux pas t’en empêcher, histoire que la fille ne se sente pas détaillée comme un morceau de bidoche et/ ou menacée par un serial-killer) ; ou que tu arrêtes de manger tes crottes de nez. (Enfin, si, ça, si tu pouvais arrêter, ce serait quand même bien. ).
Oui, garçon, se gratter le génital, c’est naturel.
Le faire devant les gens, c’est mal.
Si tu continues ? te gratter la bite en public, elle va finir par tomber.
(Quoi ? Nan mais crotte, ça va bien ? la fin quoi ! La pédagogie, la pédagogie, OK, mais enfin ? un moment donné jveux dire merde, quoi ! )
Preum’sssssssssssssss
deuzzz
deuzzz
alors l? ,imperatrice ,tu atteins le tres haut niveau!!!!!!
Bon je vais parler pour mon cas particulier.
Étant une personalité étrange ( une BaRoNnE mit ZiZi ), j’affirme bien haut qu’il est tout ? fait possible de se contenir le gratouillage !
Non, on ne devient pas fou si on ne fait pas le gratteuh-gratte de la roupette ou de la s’toukette, et non, on n’en meurt pas non plus.
M’enfin les garçons, z’avez déja vu la fille se secouer la nichonade dans le métro avec un air de béatittude ???
L’avez vous déja vu mettre la main dans la poche de son jean’s LeWis 598 taille 34 pour vérifier que tout le matériel est encore la et que ça n’a pas cicatrisé en 20 secondes ?
NON…!!!
Alors je vous prie comme Pétronille de bien vouloir arréter de jouer ? "RoGeR le plombier" et de tatouiller la tuyoterie ? longueure de journée…
Ouais mais des fois ça gratte.
et bien grattez vous comme un Ninnnjaaaaaah furtif ? l’abri des regards !
Si une fille tient vraiment ? se gratter (ce qu’elle ne fait jamais, pas plus qu’elle ne fait caca !) elle chercherait un coin discret ET propre (surtout paaaaaas le bus, ni le RER, encore moins un endroit public et rempli de jus des gens !) et réarangerait sa fourrure avec dignité.
Dignité, un concept ? étudier (bah non j’appellerais pas une brosse dignité…)
Tss
bah nous aussi ca gratte!!!
parcke kand les pwals repoussent …ca picote, ca gratouille, tas presque envie dy aller a la fourchette!!!
mais on sait se contenir !!
et si on doit se gratter on le fait seules avec nous mêmes !!
Rhaaaa, le barré, c’est trop cool, encore plus de barré !
est-ce que c’est valable aussi pour les plumes?
Arrêtez de me faire rire, merde, j’ai du travail, j’ai aps le temps de m’amuser (c’est mon clavier qui veut aps écrire aps, je sais aps pourquoi).
je vote pour le barré aussi !
… huhu, j’ai bien rigolu… ça me fait penser ? un pote qui dit, très élégamment, vous en conviendrez : "quand tu t’endors avec le cul qui gratte, tu te réveilles avec le doigt qui pue". Aaah, le mode "gratgrat" chez les garçons… quasiment impossibeule de le mettre sur off, j’ai l’impression.
… huhu, j’ai bien rigolu… ça me fait penser ? un pote qui dit, très élégamment, vous en conviendrez : "quand tu t’endors avec le cul qui gratte, tu te réveilles avec le doigt qui pue". Aaah, le mode "gratgrat" chez les garçons… quasiment impossibeule de le mettre sur off, j’ai l’impression.
Non, non, non la fille ne se gratte pas bande de vilaines chenilles qui essayent de faire courir des légendes urbaines.
Bon par contre elle fait des fois des petits pas sur les cotés en tortillant les fesses …
Enfin, je me comprends
Personellement j’ai déj? vu dans le métro moultes zé moultes damoizelles se gratter la nichonnade ou le fessier sans grande classe, distinction, toussah toussah censé être inhérent ? la féminitude même…
Pis avant de vous plaindre, il faut le vivre, c’est largement plus dérangeant et obsédant qu’une envie de faire pipi. La plupart des filles mugissent et se roulent par terre si toutes les 90 minutes elles ne trouvent pas un point de vidange, nous nous pouvons tenir une journée entière sans, alors il faut bien avoir un point faible. Parce que nous, mâles emplis de virilitude, est-ce qu’on vous empèche d’aller zo toilettes? Hein? Dis, dis? NAN! xP
Alors je vous en prie, un peu de tolérance dans ce monde de brutes, laissez nous nous aussi nous soulager de ces besoins naturels que sont la gratouillettes pesticulaire. Voire mieux, faisons des zones spéciales avec des cabines ou des points d’ombres dans les villes afin de pouvoir nous gratouiller sereinement sans choquer l’esprit sensible de ces dames.
Ceci était un communiqué du comité de libération du hérisson qui nous sert de sac ? descendance.
Merci de votre attention, et salut les kidz!
(sur ce, je m’en retourne décuver, Saint Patrick quand tu nous tiens…)
Chaque fois que je vois un garçon se tatouiller et se gratouiller, je ne peux nicht m’empêcher de penser qu’inconsciemment, il calme une zère très grande angoisse existencielle en vérifiant qu’il a encore tout ce qu’il lui faut, l? où il faut. Imaginez que -OGott !- s’toukette et roupettes aient disparu. Le garçon serait dévoré par une questionnitude insupportable du genre :
– Mézou ? Mézou ?
– la vie vaut-elle encore d’être vécue ?
Un matin où ça m’agaçait, j’ai tenté de faire cette remarque ? un coupain qui trainait négligemment chez mwa, mais c’est sûr, j’ai nicht la pédagougie de Pétro. Le garçon m’a demandé avec un fil ? plomb – non pardon : un vil aplomb ! – (y a nicht point de barré dans les commentaires, hein ? )"Tu sais pourquoi les filles se grattent la tête, le matin quand elles se réveillent ? Pask’elles ont pas de couilles !"
C’est pas comme ça qu’il va accumuler des points de sexualitude, le choli papillion… Zéro point, aucune chance..
(vi mon adresse marchait pas hier paske j’ai bêtement écrit CANAblog au lieu de canaLblog. ça fait tout de suite très sérieux, canablog v_v" )
Bref bref.
Le sujet et de cet article (et son intitulé) serait-il inspiré du post d’hier de la Margaux ?
Uhuhuh, encore quelques efforts ? faire, j’en ai peur.
Ceci étant, je plussoie sehr beaucoup tout ce post.
Nan mais, on n’est pas des sagouins, quoi. Un peu de tenue, messieurs.
Grace ? Alx, je viens de comprendre… dans le couple, le garçon c’est moi! (je me gratte pas l’entre-jambes ceci-dit, juste les tibias. et pas parce que ça pousse ou quoi, non. je suis très sensible au froid. oui. alors ça fait la peau tout sèche et tirée et gratteuh-gratte ? la fin). la fille c’est lui (au moins pour la vessie)
On peut se gratter d’autres trucs ?
je me gratte la tête pour mieux réfléchir, parfois. Ça ne marche guère, mais ça me donne une contenance.
haahahahahahahahahahahahahahahah!
hahahahahahahahah! ponk!….
je suis tombée de ma chaise…
merci pétronille!
Non mais pour la repousse de la fourrure protectrice qui pique, y a la crème hydratante aussi hein. Ça évite d’avoir envie de se gratouiller, ce qui est quand même la méthode la plus confortable pour éviter de se gratouiller tout court.
Bite Couille poil Sperme
De rien
Je proteste énergiquement: le garçon ne fixe pas les gens!!!
Le garçon fixe la fille et encore seulement si c’est joli ? regarder et encore même pas les yeux (parce qu’il est timide le garçon, il a même tendance ? seulement regarder l’arrière de la fille pour ne pas la gêner).
Chère Pétronille
Ce commentaire n’a absolument rien ? voir mit cet article (si ce n’est l’éducation du garçon ? la vie mit la fille), et je m’en excuse platement.
Je suis moi-même, ? ma grande honte, un garçon, pas zencore en couple bien que suivant vos cours mit assiduité (un pote ? moi). J’aimerais avoir votre avis ? propos d’un thème séculaire, et qui continue ? faire débats dans tous les foyers de France et de Navarre : la terrible question de LA LUNETTE DES TOILETTES [musique d'ambiance, grave et oppressante, mais laissant néanmoins poindre une note d'espoir]
En effet, m’est venu ? l’esprit que rabaisser la lunette sus-citée nécessitait tout autant – voire plus, si l’on applique les lois de la physique et leurs de formules mit pleins de chiffres qui disent notamment que DE(potentielle de pesanteur) = m.g.(h2 – h1), mais l? n’est pas la question – d’effort que de la relever. Et donc que l’argument ? l’origine d’innombrables reproches, selon lequel le garçon devrait rabaisser la lunette des toilettes après y avoir vidé sa vessie sinon c’est toujours la fille qui le fait, n’était pas scientifiquement recevable.
Certes, j’admets sans hésitation que, dans la pratique, son bien-fondé est tout ? fait justifié. Lorsque la fille doit déj? s’occuper de toutes les corvées, en plus de l’éducation du garçon, il est évidemment normal qu’elle exige de sa part la réalisation d’une des rares tâches ? sa portée. D’autant plus que celle-ci présente moultes avantages éducatifs : un mode d’emploi simple, facile ? assimiler, réitérable plusieurs fois par jour, faisant appel au réflexe visuel "qu’est-ce qui n’est pas normal", et plaçant le confort de la fille comme préoccupation prioritaire. Mais l? n’est toujours pas la question (je vais y venir, ne vous inquiétez pas).
Ce que je souhaite évoquer ici, c’est la Théorie. Plaçons-nous donc dans le cas théorique (utopique ?) où le garçon serait enfin devenu un choli papillion presque aussi parfait que la fille (mais toujours en possession d’une zigounette, c’est important pour la suite). Étant donné que s’il va dans les toilettes après la fille, il doit lui aussi faire rotationner la lunette autour de ses gonds, mais en sens inverse; et en considérant qu’aucune personne extérieure ne vienne perturber l’expérience en fropitant de leur hospitalité, on arrive naturellement et sans trop de calculs ? la conclusion que le garçon modifie la position de la lunette un nombre de fois exactement EGAL ? celui de la fille.
Or donc, ne serions-nous pas alors dans une situation de parfaite égalité des sexes dont il faudrait chanter les louanges et non blâmer ?
Une fois encore, ce n’est qu’une pure expérience de pensée, et je suppose que le version actuellement employée convient mieux, pour les garçons qui n’auraient pas comme moi l’idée de se lancer dans de tels raisonnements, que le seul concept de galanterie.
Néanmoins, ne pensez-vous pas, chère Pétronille, que pour les rares garçons plus familiers mit cette notion, une reformulation de leur (notre) responsabilité envers la lunette permettrait une meilleure compréhension et encouragerait leur (notre) bonne volonté ?
Entretenant depuis plusieurs années une idylle aussi passionnée que durable avec un bel eczema des plus fidèles (fort heureusement situé dans des endroits que la décence me permet de nommer), je vote également pour l’instauration de zones de grattage en bordure de voie publique.
J’ai tout bien lu même si j’ai nucgt répondu ! Super Saumon, je vais me creuser un peu la tête l? -d’sus mais a priori le dernier débat sur ce sujet avait abouti sur la conclusion suivante : faut tout rabattre. Siège ET cuvette.
Comme ça ça t’évite d’avoir ? plonger la main dans les WC quand tu fais tomber un coton tige dedans…
Beuh, j’arrêterai de me gratter le service trois pièces quand madame fermera la porte des cagouinsses quand elle va faire un dépôt de bilan.
Non mais !