Un bien beau morceau. Merci Daniel Levi. (on me dit également Auteur : Lionel Florence / Patrice Guirao) (et Ladybanane dit : Pascal Obispo) (en même temps, qu’importe l’auteur pourvu qu’on ait l’ivresse de la chanson ? texte ? )
Couplet 1 :
Bon, jusque-l? , ? la limite, d’accord.
C’est tellement ça l’amour,
Tellement ça quoi ? Ooooooh je sens que ça va être une chanson ? syntaxe aléatoire.
Tellement possible, l’amour.
Ah, en même temps si c’est pour nous annoncer une bonne nouvelle c’est pas grave s’il fait ses phrases en franco-bulgare.
A qui m’entend ! Regarde autour !
Moi je t’entends, hein, mais quand je regarde autour de moi je vois Collègue Playmobil, ça m’inspire moyen de l’amour.
A qui le veut vraiment !
Je vous refais la phrase en entier parce qu’ils essayent de nous enduire de doute avec leurs retours ? la ligne : « A qui m’entend ! Regarde autour ! A qui le veut vraiment ! « . Dites donc, si Collègue Playmobil veut vraiment l’amour il a qu’? retourner faire du tourisme sexuel hein. Moi je lui donne nicht amour.
C’est tellement rien d’y croire
Eh non, ça mange pas de pain, hein, ma bonne dame.
Mais tellement tout pourtant
Parfois un peu aussi (non mais je m’adapte hein, j’essaye de communiquer, je sens qu’il veut nous dire quelque chose).
Qu’il vaut la peine de le vouloir,
Donc « il » c’est toujours l’amour, je suppose. Il vaut la peine de le vouloir. (C’est bon, on va pas trop vite en besogne. Pour l’instant on en est ? vouloir éventuellement chercher ? considérer l’envie de peut-être chercher l’amour. La partouze, c’est pas pour tout de suite. )
De le chercher tout le temps.
Oui enfin vous je sais pas, moi j’ai autre chose ? foutre de mes journées.
refrain :
Ce sera nous dès demain.
Nous qui serons l’amour ? Moi je veux bien être amour. Je suis pas très souvent amour, quand on y pense. Je suis souvent mauvaise foi, et parfois coude, mais rarement amour. J’en prends conscience aujourd’hui, et je dis, merci, merci de m’avoir fait prendre conscience de cet état de fait.
Ce sera nous le chemin.
Le chemin de l’amour ? Je connais l’expression « garage ? bite » mais je suis pas sûre que ce soit pareil. Chemin de l’amour, ça veut pas dire qu’il faut arranger des coups entre Sylviane de la compta (dont on espère tous secrètement qu’elle ne se reproduira jamais-jamais) et Patrice du courrier j’espère ? Parce qu’après, faudra noyer les petits.
Pour que l’amour qu’on saura se donner
Encore un retour ? la ligne, je sens que ça va encore partir en flistiboles.
Nous donne l’envie d’aimer.
Pour que l’amour qu’on saura se donner nous donne envie d’aimer. Bien-bien-bien. Tu donnes de l’amour, ça te donne envie d’aimer. (Et personne ne dort jamais, après ? Ou ne prend de douche ? Non on a envie d’aimer derechef, allez, on renquille, en position Ginette.)
Couplet 2:
Oui parce que attention hein, dans une chanson ? texte comme ça, faudrait pas se perdre.
C’est tellement court une vie,
Certes.
Tellement fragile aussi
Ah ben surtout si t’es cunul ? donner de l’amour tout en te roulant sur le chemin, hein. Ça, pour prendre froid…
Que de courir après le temps
COURIR ? Ah, ça, jamais !
Ne laisse plus rien ? vivre.
Et donc avec des phrases de 4 mots et seulement deux couplets c’était trop demander d’avoir comme une sorte de rime ? Parce que si « vivre » et « vie » ça rime, moi je suis la Reine d’Angleterre.
Chorus :
Ce sera nous dès demain.
Nous, non. Vous, vous faites ce que vous voulez, mais vous me laissez en-dehors de ça. Eh, oh, tu crois que je vais me laisser lutiner la croupe par quelqu’un qui pense que « vie » rime avec « vivre » ?
Ce sera nous le chemin.
Ou alors est-ce qu’on est supposés faire une sorte de radeau humain pour flotter sur l’océan des déceptions ? (non mais avec des phrases de 4 mots en moyenne, ça laisse de la place ? l’interprétation)
Pour que l’amour qu’on saura se donner
Je soupçonne de plus en plus l’auteur de cette chanson de faire partie de ceux qui te « donnent de l’amour » dans le métro, en se frottant contre ton fessier innocent et non-consentant.
Nous donne l’envie d’aimer.
Et ça, je tiens ? le dire tout de suite : NON les moches qui se branlent sur ton imper comme un vague caniche abricot, ça me donne pas du tout envie d’aimer.
Ce sera nous dès ce soir
A nous de le vouloir,
Faire que l’amour qu’on aura partager
Nous donne l’envie d’aimer.
… mais tu l’as déj? dit, ça, hein. Quelle bande de branleurs, c’est pas vrai.
Bridge :
Ah, attention, on va nous sensibiliser ? la mauvaise prise en charge des frais dentaires.
C’est tellement fort
Ah, non.
C’est tellement tout l’amour,
Tout, beau, fort, et gnagnagna. Jamais tu liras une chanson où c’est aussi collant, suant, parfois décevant. Mais c’est de la rime en « an », c’est un peu high level en même temps.
Puisqu’on attend de vies en vies
Même si tu crois en la réincarnation je te conseille de pas tout miser sur la prochaine vie, hein, en termes de digueuh-digue. Au cas où, ce serait dommage.
Depuis la nuit des temps.
Ehhhh oui. Depuis la nuit des temps, on paye des ménestrels ? plingueug-plonguer leur cithare en racontant des conneries. Mais avant, avec une chanson pourrie comme ça, ils allaient au bûcher. (C’était le bon temps).
Preumze d’abord
Mais c’est de qui, cette chose ???
J’ai gloussé tout au long de ce lucide décryptage. Quelle verve, Impératrice ! Merci pour cette esclaffade (silencieuse et ? la dérobade, hein, je suis au travaillement)qui fait bobo les maxillaires mais doudouce au moral. Oui, comme dirait la compagnie créole *tous en coeur* : c’est bon pour le moral, c’est bon bon, c’est …
@Gertrude : sauf erreur de ma part, ça a été écrit par Obispo (ceci explique cela) mais c’est chanté par Daniel Levi dans les Dix Commandements …
troiz…. merci impératrice, ce matin mes yeux colleuh très très très fort, et pourtant l? ils sont restés ouverts ! je confirme ladybanane pour la réponse ? Gertrude, et je retourne faire semblant que je suis réveillée dans l’open space du travaillement où c’est très dur de pas montrer que ta tête elle tombe sur le clavier !
uh uh uh la rigoulade de bon matin ! avec ce temps tout dupurri puducu et le travaillement ça fait pas de mal…
Aaaah d’accord merci. Je salue votre culture ? toutes deux et je m’en vais de ce pas me féliciter de ne jamais écouter Obispo (sauf en traduction, évidemment).
mais non mais Obispo c’est la base ! pour une prochaine traduction Impératrice vous pouvez faire celle qui commence par "je suis tombée pour elle…" ça s’appelle l’ile aux oiseaux je crois et c’est de toute bôté !!!!
http://www.parolesmania.com/paro...
j’ai pas pu résister !
(faut vraiment que je fasse semblant de travailler mais on est lundi et je veux pas !!!!)
Raaaaaaaaaah mais putaiiiiiiiiiin !! Je l’ai dans la tête, maintenant !!!
Je fais quoi, je te mets en contact avec mes avocats? Ou je viens chanter du Michel Sardou sous ta fenêtre?
C’est un peu comme une grosse cuite, ce blog. D’abord tu te marres bien et ensuite, tu le payes très cher.
Crime et châtiment, quoi.
Ouais, le retour en force de l’impératrice! J’aime quand tu postes ? nouveau pur du vrai, le jour même où je reprends le boulot (amplitude thermique entre mon lieu de villégiature et mon lieu de travail : 25°C…. et pas dans le bon sens…)!
Quatrz
Ah non, correction, il n’y a pas de Deuzzz semble-t-il.
Donc DEUZZZ!
Si l’Impératrice se sent en forme, je ne saurais trop lui conseiller le maître en la matière, celui devant qui Obispo n’est encore qu’un tout petit disciple de rien du tout, j’ai nommé Presgurvic, the King of the navettitude.
Mais je viens de me rappeler que dans votre grande magnificence, vous l’avez déj? fait, avec cette merveilleuse analyse de Roméo et Juliette.
(il fait aussi les textes de Bruel sinon, et y a du potentiel l? . "Si tu me quitterais, je souffrerais", comme disait l’autre…)
ps : être mauvaise foi, certes, mais être coude, j’ai drôlement glousseté. Je me suis souvent fait la remarque qu’on n’accorde pas assez d’importance aux coudes. Tout le monde s’en moque ! Ils sont pourtant bien utiles, tout de même.
EH ouais, j’étais déj? sur le coup ! http://beulogue.free.fr/blog/index.php?2008/03/19/250-les-rois-du-monde
Ceci étant, que ça ne vous empêche pas de me faire des suggestion hein. (Lîle aux Oiseaux je sais pas si je pourrai résister, émotionnellement, mais bon)
Huhuhu ! Merci d’avoir parlé d’amour en cette triste journée où je me suis cruellement brulé le pouce en faisant mon repassage. Je savais bien que j’aurais pas du essayer de faire quelque chose aujourd’hui…
Alors après vérifikatione, il semblerait que les paroles soient de Guirao et Florence, la music de Obispo… bref, ça en fait 3 ? mettre au bûcher …
Les suggestions c’est pour des gens qui chantent uniquement ou c’est multimédia ?
A chaque fois que je lis une de vos explication de texte des ces chansons, j’ai l’impression d’entendre Andréa c’est toi de Boby Lapointe ^^
Seriez vous sa réincarnation ???
(Faut que j’arrête les bollywood, leurs histoires de Karma viennent ? déteindre même ici … )
Mééééé! Passant aujourd’hui mon travaillement plus longtemps dans les stocks que devant le PC j’ai pas le temps d’étudier en profondeur la profondeur des textes sus-cité ainsi que de la fine analyse qui en découle… Et donc encore moins lire les commentaires éclairés des nombreux fanfous!
M’enfin ce matin j’ai quand même entr’aperçu le sujet du pourquoi du comment. Et donc depuis ce matin j’ai Bobby Lapointe qui chante tout seul dans ma tête. Je vous laisse deviner quel titre…
Un indice pour les paresseux:
http://www.youtube.com/watch?v=w...
j’suis juste FAN de la dernière phrase (et de sa parenthèse surtout) !
Héé mais elle est pas pourrite cette chanson! (Quoique, hors contexte un peu étrange j’admet)(j’en reste l? de mon commentaire, je ne vais pas faire de théologie, hm)
Quand on a si peu de vocabulaire, la moindre des choses c’est de respecter la base : sujet-verbe-complément.
Nan mais chez Roméo et Juliette zavez fait les Rois du monde, mais quid de Aimer c’est c’qu’y a d’plus beau, aimer c’est monter si haut ? (A ne pas confondre avec Ça vit d’amour et d’eau fraiche un oiseau de Michel Fugain.)
Après y a aussi Belle (de Notre Dame de Paris), avec de magnifiques rimes en "elle", que ça me tord les tripes pour Victor Hugo.
c’est bon!!!! ça ensoleille mon après midi pluvieux.