Observons deux papillons. Ils butinent, c’est formidable.
Maintenant, observons une chanson d’Ophélie Winter.
« Je sais qu’il me voit et qu’il est caché
Tous mes secrets sont connus de lui
Il me connaît par cur
De la tête aux pieds »
Rhooo dites donc, Dieu est vraiment partout !
« Je sais qu’il trippe derrière mon miroir sans teint »
Ahhh non ça doit pas être Dieu alors. Rhooo, Ophélie Winter s’est fait arrêter par un flic pervers !
« Je sais que tu me dévisages »
Ophélie Winter, elle a des super pouvoirs, elle voit ? travers les vitres sans teint.
« Est-ce au moins une bonne impression ?
Est-ce que mon corps te satisfait
Convient-il a ton obsession ? »
Et mes fesses, tu les aimes mes fesses?
« Je sens tes yeux de lâche épier ma vie
Tu guettes chacun de mes pas pour savoir avec qui
Je rentre chez moi et dans l’obscurité »
L’autre si elle rentre chez elle sans allumer la lumière, ça fait pas faire un pli, elle va se vautrer par terre.
« Tu mettras le chaos dans mon intimité »
… Mais c’est dégoûtant !
« Je sais que tu m’espionnes mais je ne vois pas pourquoi »
Ben c’est vrai que, vue l’actualité d’Ophélie Winter ces, euh… dix dernières années, on se demande.
« Pour un peu de fric, tu voles ce que tu vois »
Non, alors en fait on vole pas vraiment ton âme quand on te prend en photo.
« Un baiser et tu cliques, quand je suis dans ses bras »
Tu cliques, tu cliques… il se touche le kiki oui !
« Verrai-je ma photo publiée on verra »
Ahh, l’émotion d’une gloire naissante !
« Tu montes un flirt de polichinelle
Une histoire irréelle
Pour la rendre plus sensationnelle »
… Donc elle rentre chez elle avec quelqu’un qui la bécote et il fait noir mais ils font pas du sexe en vrai ? EH non mai sfaut pas nous prendre pour des courges non plus !
« Tu peux fabriquer la preuve ! »
Alors qu’on sait bien que c’est le Colonel Moutarde, dans la véranda, avec le chandelier !
« Je sens tes yeux de lâche épier ma vie »
Oué ben les yeux, ça sent pas.
« Tu guettes chacun de mes pas pour savoir avec qui
Je rentre chez moi et d’ans l’obscurité »
Tu vas encore tomber !
« Tu mettras le chaos dans mon intimité »
Beurk ! Allez, ça suffit comme ça. Bande de dégueulasses.
"Tu mettras le chaos dans mon intimité"
J’ai oui dire que Mollo lui ne l’appelait pas ‘le Chaos’ son ziguigui mais ‘Miguel’…. Bey qui lit les paroles d’Ophelaï dans l’obscurité de ses yeux fermés…
… et en bougeant une oreille.
hier j’ai u Y a -t-il un flic pour sauver l’univers… avec elle… heuuu comment dire? …. non en fait je vais pas dire…
Z’avez bien picolé ? votre jubilé, Demoiselle ! ça a l’air marrant…
En fait si le miroir est sans teint, c’est juste qu’Ophély n’est pas maquillée. Parce que si c’est quelqu’un qui se cache derrière pour l’épier (et tout le reste du corps), c’est un miroir sans tain.
Bref, comme on dit :
La pâleur du miroir n’est que le reflet de celui qui l’écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans croute ! (même si avec c’est meilleur)
[Bon, c’est un message d’août 2007 et nous sommes en mars 2011 mais c’était important ? dire !
Non mais c’est quoi cette mode d’être ? jour, je revendique ma rétrospective forwardesque d’un blog que j’avais pas suivi avant (grand mal m’en fasse).
Et puis on est Lundi, et le lundi c’est permis ! (et pourri, aussi …)
Et je parle tout seul.]