Jeanne-Aymeric aimait les animaux. Elle les aimait de tout son être, tellement, tellement. Elle les prenait dans ses bras, et les serrait, les serrait, aussi fort que son cur débordait d’amour ; et ça faisait beaucoup. Bon, après, forcément, il fallait en acheter un autre.
Pendant que Jean-Baptiste souriait, insouciant, affichant aux yeux du monde l’image d’un bonheur total, Tobby serrait les dents. Bientôt, oui, bientôt, il mettrait fin ? cette relation étouffante et repartirait dans quelque horizon lointain pisser sur le tronc des saules-pleureurs et se lécher l’anus.
Chaque année, ? Noël, je n’ai rien ? dire (je fais genre que je lance des débats sur les fêtes sont-elles du pourri, mais personne n’y croit). Chaque année, je repense ? Julie F qui m’avoue adorer mes commentaires nazes sur des photos libres de droits. Chaque année, je me dis eh, mais ouais, tiens. ...
Après m’être longtemps moquée des coulrophobes, je commence ? comprendre. Par ailleurs si quelqu’un sait quel étrange animal ce malade a tenté de modeler avec son ballon en caca, qu’il se fasse reconnaître.
Si un ours blanc seul sur la banquise glisse sur une peau de banane alors que personne ne le voit, qu’est-ce qu’on s’en fout ? Et sinon, je reprends du service sur Grazia ! Un petit test pyskologique de bon aloi, ici.