Tata Jeanine avait commencé ? nous faire de émotions ici , et ça continue de plus belle l? juste en-dessous.
Je sentais ses mains se balader sur mes entre-cuisse si chaudes et si douces,
Grâce ? Tata Jeanine, non seulement la parole est libérée, mais en plus nous apprenons des choses. Les femmes ne sont donc pas dotées d’un sexe (ou d’un vagin, ou d’une foufounette, selon les préférences sémantiques), mais d’entrecuisses au nombre de plusieurs.
Il me caressait le pubis, qu’il sentit plus que mouillé,
« Plus que mouillé » ? Innondé, peut-être. A force de ne pas prendre soin de ses écoulements, c’était ? prévoir.
et me glissa un doigt, puis deux et je commençais ? jouir déj? tellement le plaisir montait. Il baissa complétement son pantalon, saisit mes hanches et me retourna, je restais ? m’appuyer sur ce capot avec une envie pressante de le sentir en moi, quand soudain enfin son gros manche rentrait en moi si chaud si dur, je savais que j’allais être rassasiée.
(Huhu, désolée, j’admets que quand je lis « gros manche » je pense plutôt ? Collègue Playmobil. Je sais pas si c’est grave.
Il commença ses mouvements de va et viens si intensifs et si sauvages que mes fesses commençaient déj? ? chauffer quand il se cognait ? moi dans ses efforts.
Aaaaaaah, retour aux basiques souvent développés par Tata Jeanine. Le sexe, ma ptite dame, c’est des coups de boutoirs dans ton fesse. Nomdedjiu.
Le moment vint ou j’eus un frisson le long de tout mon corps il me demandait si j’aimais ça, oh que oui je lui criais… et un cri transperça le long silence dehors je jouissais si fort que je ne m’en rendais pas compte, et je sentis son dard m’envahir si soudainement, il avait jouit.
Plusieurs remarques. Tout d’abord Tata Jeanine criait en silence avant de crier en bruit mais sans s’en rendre compte. Ensuite, il est ? craindre que Johnny l’avait effectivement pénétrée avec un gros manche (ce qui n’est pas très propre, et surtout, se fait si on a demandé la permission avant parce que ça peut surprendre des gens un peu moins délurés que tata Jeanine). Ça, ou bien il a deux pénis.
Puis, il me regarda et me dit qu’il en voulait plus, il laissa la voiture au milieu de la route et m’attira vers lui dans l’herbe mélangée de paille… les odeurs se mêlaient, tous mes sens étaient en éveil, il commença ? m’allonger et me lécher mes tétons, le ventre puis l’aine,
aaah, la léchouille d’aine…
puis glissa un doigt dans ma fente déj? bien humide et je sentis sa queue déj? bien rigide qui en voulait d’autre.
A part que Johnny ferait bien de se passer le kikidur ? l’eau de temps ? autre parce que si on la sent arriver de loin y’a ptêtre une histoire d’ablutions ? régler, je n’ai rien ? dire. Non, je veux seulement essayer de vous préparer en douceur ? la phrase qui va suivre.
Je l’attira entre mes cuisses comme pour lui montrer que j’étais pressée de sentir son organe en moi qu’il me pénétra d’une rage.
Voil? -voil? …
Les oiseaux pouvaient chantaient ou la terre s’arrêter
et le ciel bleu sur nous peut s’écrouler. Il aurait pas passé quelques temps ? l’hosto, récemment, son Johnny ?
que rien n’y personne n’aurait rien pu faire pour que ce moment soit gâché.
Même pas un cortège de mariage bourré qui serait passé par l? en klaxonnant ? qui mieux-mieux. C’est te dire.
Il me culbuta encore et encore que des échauffements commençaient ? se faire sentir entre mes cuisses, mais j’en voulais encore, je voulais que ce moment s’arrête.
Ben faut le dire, cocotte, au lieu de sourire pour lui demander s’il a racheté des biscottes et de crier en silence.
Alors pour lui faire plaisir et pour le remercier de tout ça, je lui fis comprendre en me mettant ? genou devant lui que je voulais qu’il finisse dans ma bouche et qu’il me décharge son dard, chose que je n’avais jamais accepté.
Parce que, me faire culbuter en plein air, ça d’accord, mais manger du kiki, attends, c’est pas la Fête au Rognon, non plus.
Il ne faisait pas prier
Ben stadire que c’est pas trop le moment, hein, quoi.
que je sentais déj? son manche énorme contre ma gorge faire ses va et viens et me tenir la nuque fermement,
Ah oui, ça c’est sympa aussi, le « jte touche la glotte avec mon bite, et si tu vomis, vomis l? -d’dans, vu que je t’immobilise la tête.
quand je l’entendis crier de plaisir, jouir dans ma bouche…. Que c’était bon, il me regarda et me remercia de ce geste.
Ce geste de regard me fait monter les larmes aux coudes.
Nous nous sommes rhabillés et il m’a ramené ? la caserne, je l’embrassais et lui faisait promettre d’être aussi innovant la prochaine fois…
et de m’apporter un beau bouquet de Bescherelle.
Preum’SSSSSSSSSSSSS
Deuz!!!!!!!!!
Après l’utilisation abusive du "que", voici l’utilisation abusive du "si"!
Mais, que nous inventera, t-elle, si ça continue?
huhuhu !
Troiz. Je ne dirais rien de plus car, sciée par le talent littéraire de tata Jeannine, j’ai dés ? présent fait la bonne résolution d’arrêter de m’exprimer, elle le fait tellement mieux. Des larmes en tombent sur mon clavier. ‘Tendez, ? moins que ce soit ? cause de me lentilles mal foutues, va savoir.
Bouhh, ta me pique le fesse de paille et d’herbe melangé rien que d’y pensa
"que je sentais déj? son manche énorme contre ma gorge faire ses va et viens et me tenir la nuque fermement"
Je suis jaloux! J’adorerais avoir un manche capable de tenir des nuques fermement.
Mon dieu, que tata Jeannine a la vie trépidente !
A quand ses aventures au cinéplex ?…
Rhalala, j’en pleurerai de rire que si c’était si bon de que le lire…
(Nan, décidément, écrire comme tata Jeanine, c’est un ART)
Arnaud, du coup il faudrait un manche coudé, quoi.
C’est moi où Tata Jeanine a passé un cap ? Genre "non mais attend maintenant je ne fais plus DU TOUT chier avec la grammaire, c’est trop surfait"… Parce que j’ai tellement essayer de me raccrocher aux que et aux si pour faire des phrase un tant soit peu compréhensible qu’au final j’ai raté le pouvoir érotique du capot de voiture (brûlant)…
Et je suis même contaminée par l’orthographe défaillante de Tata Jeanine…
En fait on dirait carrément que Tata Jeannine a 13ans.
Aaaaahh, Tata, tata… Que dire de plus, de mieux?…
cette insouciance grammaticale, oublieuse jusqu’? la conjugaison des auxiliaires, cette inventivité tous azimuts, cette sensation de liberté sexuello-langagière (? ce stade on ne peut plus dire "linguistique"), cette démesure imaginative (coït sur des capots & fellation pour le "Finale", quel talent dans l’avant-garde et la transgression !)…
Je ne suis pas certain que la joie d’Arthur fut plus complète, quand, d’un geste ample, il arracha de son socle Excalibur (il est vrai que c’était moins salissant)…
Bravo ma Tata.
Surtout, persiste…
Tata Jeanine déesse de l’amûUr !
"Nous nous sommes rhabillés et il m’a ramené ? la caserne, je l’embrassais et lui faisait promettre d’être aussi innovant la prochaine fois…"
Pardon mais dans la première partie on était un peu étonnée que Tata Jeannine soit dans une caserne. L? je suis un peu étonnée qu’elle soit "innovant" ???? Sommes nous bien sur que ce n’est pas Tonton Jean ?
Oh bouducon ! je me demandais d’où tu tenais cette magueunifique prose ma chère Pétronille, et un rapide copier-coller m’a donné la réponse. Et l? je salue ta grandeur d’âme et ton dévouement ? commenter ce texte qui fait qu’il aura eu son heure de gloire sur le ternet (et une utilité quelconque).
Mais quand même, Tata Jeanne, a bien choisi sa vocation de caserneuse, car elle n’aurait même pas fait recette en scénariste de film pour adultes sur M6 le dimanche soir… (et pourtant, qu’est-ce qu’ils sont mauvais !)
Mais merci pour cette régalade !
Pétronille, je suis sûre que tu es une vraie petite lapine, y’en souis sour sour sour sour sour. ("…Mme Bovary, c’est moi")
oh-mon-dieu !!!! Mais il n’y aurait pas une troisième partie au texte ? Nan mais parce que l? je me sens si envieuse de l’expérience incoooooyââble de tata jeannine que, je, rêve de quand si je voient un autre bout du gros manche de johnny
C’est vraiment pas croyable qu’on puisse écrire un truc pareil… Mais ça prend tout son sens quand on lit votre commentaire, chère impératrice de mortderireland !
Berke Berke Berke ! Ces jeunes fous me semblent bien oublieux (en plus de l’hortoggrafe et de la gramèrre) des préceptes les plusse simples de l’hygiène bucco-dentaire. Chez moi, on se brosse pas les dents de cette façon… mais bon, je vis un peu dans la cambrousse profonde, limite périgourdine, alors pitêt’ que j’ignore les nouvelles avancées techniques.
Chers ! OUI j’ai piqué ce texte mais je dirai pas où parce que je veux pas qu’on aille se moquer de Tata Jeanine. Qui a le droit d’écrire ses fantasmes. ENSUITE, que, mais, je sui eureuze que, vous avez, la même réaction que moi en lisant ce magueunifique passage sur « je te mets mon bite dans le bouche et je fais étau avec mes mains, hop tu peux plus bouger, hop t’étouffe, je m’en tape c’est moi le chef ».
Non mais moi ce qui m’étonne surtout c’est que Tonton Johny soit aussi résistant, trop fort le Tonton! Ah cette tata, étendard du féminisme et du bon goût! M’enfin, si ça plait ? tonton hein, je veux pas juger!