Nous inaugurons (vous remarquerez que je m’obstine ? employer le nous, alors qu’il est de plus en plus clair que je me suis inventé un chouchounet et que je suis seule pour faire ce beulogue, d’ailleurs j’ai plein d’autres amis imaginaires dont Pimky le poney bleu, rhooo non Pimky, t’as encore fait du caca en Kinder sur le paillasson en nuage) une nouvelle rubrique : les films pourris. Et par extension, tout les trucs qu’on regarde alors qu’on ferait mieux d’aller dehors respirer le bon air frais.
Y’a pas de raison que je m’abrutisse toute seule.
Speed : Le pitch (pitch owouho mon Pitch ! )
Un méchant place une bombe dans un bus. Si le bus descend ? moins de 60 miles ? lheure, il explose. Le bus, hein. Quoi, combien ça fait en kilomètres ?
j’ten pose, des questions ?
Heureusement, pour contrer le méchant (Dennis Hopper, acculé ? des mesures drastiques par son tiers provisionnel), il y a Kagnu Reeves, le fantasme des moins de douze ans (dans les années 90).
Le méchant, décidément très méchant, tue le meilleur ami du gentil. Kagnu plisse alors le sourcil, nous entraînant grâce ? son jeu tout en finesse dans un tourbillon démotions.
A la fin (ouf, quel suspense !) le gentil gagne et le méchant perd. Kagnu en plisse un coin de bouche.
Etat nécessaire pour bien apprécier lintensité dramatique de ce flime :
Comateux
A voir pour :
- Le jeu dacteur de Dennis Hopper, qui livre ici une performance incroyable de cacheage de pouce gauche ? la caméra pour bien faire montrer quil est mutilé. Quel acteur, quel homme.
- Le genou galbé de Sandra Bullock, qui joue très très bien (le genou).
- Lémulation incroyable entra Kagnu et Sandra, qui ont tous les deux réussi lexploit de se faire passer pour des acteurs aux yeux du monde, alors quils ont la profondeur dramatique de fromages blancs périmés.
Alors, après la râlerie anti-boulet(-corp ? huhuhu), aujourd’hui c’est bouderie. YEAH !
Moi-z-aussi, je boude. Nan, mais aujourd’hui, y pleut, hier il pleuvait, avant hier itou et ça dure depuis plus de 3 semaines. Alors, bon, faudrait voir ? pas non plus trop m’énerver avec vos chansons, Galaxie !
Oups, j’entends les pas de collègue-boulet-femme-enfant-Caliméro.
Tchuss, Galaxie !
@ melmaabe :euh j’ose pas (je veux faire un métier dans la santé, je viens d’y consacrer 6 ans d’études je suis presque au bout et si j’ai un casier judiciaire je pourrai pas exercer …. mais j’avoue en avoir trèèèèèèès envie)
Oh god, Clairounette, uhuhuh. Ce chat a l’air tellement mou. MOUUUU.
Et chères Muji-muji et Nenen, vous pouvez désormais fièrement annoncer au "kikinou ? lunettes" (j’me serais pas permise) qu’il a fait le régal de fanfous galactiques !
Pique-nique-douille, c’est qui l’andouille ?
BRavo Groumpfff ! suis hyper d’accord… ce sont les AUTRES qu’ont rien compris
Bonjour! Je passe pour faire part d’un pièce intitulée "Blogueuse", co-écrite par l’auteur de "Girls and Geeks". J’ai pensé que vous seriez intéressée par une pièce faites par une blogueuse pour les blogueuses en particulier. Elle sera jouée du 30 juin au 8 aout. Je laisse le site du théâtre pour plus d’informations.
Bonne continuation pour le blog!
manufacturedesabbesses.co…
un témoignage de satana pourrait en effet être amusant mais vu qu’elle aussi a "testé" les doses de punch ….
Maaais, eeeuh, chaque fois que je m’absente ça parle derrière mon dos!!
Niveau admiratrices j’ai constaté un certain relachement ces derniers temps, je crois que pour l’échangisme c’est pas gagné-gagné…
Quant ? mon hygiène corporelle, je laisse le soin ? d’autres d’en juger (oh la la, paye ton invitation ? la Tata Jeanine)!
Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa : je ne connais pas les oeuvres de l’Impératice Galaxiâle par coeur.
J’ai donc usé mes pauvres yeux fatigués ? la lueur d’une chandelle tremblotante pour fouiner dans les archives galactiques (et foutrache : y en a !)
Or donc, j’a trouvé l’origine du poisoon d’eau douce gonzigal ici :
beulogue.free.fr/blog/ind…
Galaxie : re-régalez-vous !
Merci Groumpff, en plus je l’ai vu trois fois ce film, je suis en train de perdre mon cerveau par les zoreilles je crois.
moi aussi je l’aime steven, en réalité, il n’a qu’un regard, celui qui tue, le même depuis ses débuts. Steven, c’est un peu comme beethoven ou schubert, on n’est jamais déçu, de la vraie valeur sûre pour le lundi soir!!!
Purée!! C’est exactement ce qui m’arrive. Impossible de m’extirper de cette situation!