Stop ! Au nom deuuuh l’amoure 4

Bien alors donc, on avait dit que je n’avais plus l’internet.
Je le redis parce que là on me donne gentillement un accès Wifi (les ondes ! les ondes ! Ne vous inquiétez pas j’ai bien mis mon joli chapio en alu), et je vois des messages de gens qui par exemple me demandent des trucs. Sur Facebook. Le lundi à 14h30.
(Ce qui, même quand j’avais internet, n’avait aucune chance de m’atteindre en temps et en heure).

Donc j’ai mis des articles en programmation automatique de la technologie, un peu au pif.
Donc après j’ai vu des gens qui m’ont dit qu’ils étaient inquiets parce que mes posts récents (récupérés de 2009) étaient pas drôles et que j’avais pas répondu sur Facebook. Bon. (La communication est chose bien difficile).

Donc je vais or-ga-ni-ser.

Déjà, je vais vous aider un peu le lundi, car le lundi, c’est tout pourri des fois un peu ardu. (Parce que quand je mets des trucs sans image e lundi je me fais engueuler). Parce que c’est pas parce que je ne suis pas là que je ne pense pas à vous pour vous mettre des merveilles de côté.

Ensuite, je vais vous refaire un warning tout en sobriture : ceci est un blog. Si je fais un haïku pourri pour dire que j’ai rien à dire, ça ne veut pas dire que je suis à deux doigts de me faire un mojito à la javel. Enfin. Bande de petits canaillous. C’est juste qu’en ce moment, il ne m’arrive rien. (Je vais pas vous raconter que j’ai besoin de deux petites baguettes de 42 cm pour faire tenir mes rideaux droits. Je veux bien que ma mission soit de sublimer le quotidien, mais à un moment, j’ai mes limites).