Le gros sifflet du Loir-et-Cher retentira trois fois 11

Salut les petits amis !
(C’est Gonzague qui dit ça. Ça fait mieux quand c’est Gonzague qui dit d’ailleurs).

Bref, notre ami Floflo le Gros Sifflet du Loir et Cher est de retour. C’est pas du tout Collègue Blondinet qui m’a préparé les images, en fait (en même temps comme c’est lui qui a tout réparé ici je peux pas trop lui reprocher des trucs non plus). C’est moi. Grâce à mon grand ami Paint.
Donc le premier qui fait un commentaire sur la qualité des visuels, je lui ignore la gueule tellement fort qu’un grand vent de solitude de l’internet montera de son clavier et qu’il attrapera la pulmonie. Et ce sera bien fait. (Oui je suis un petit peu d’humeur chafouine, je sais pas si ça se sent ? )

Ça commence bille en tête (si quelqu’un/e a une explication rationnelle pour cette expression il/elle sera le/a bienvenu/e) avec une fille qui souffle sur fond de Toblerone.

Floflo est là, et, bien entendu, il est torse-poil, tant les frileuses convenances de nos petites vies rangées (qui disent que c’est un peu sympa de mettre un slip et un T-shirt avant d’ouvrir ta porte) sont peu de chose aux yeux de l’Ârtiste.

Floflo fait Pompideupe tout seul sur sa montagne. C’est son côté moine Shaolin. Il a l’air ravi d’être tout seul comme un con sur son rocher, telle la pétoncle abandonnée, et j’ai envie de dire tant mieux pour lui. S’il peut s’auto-entertainer en faisant une soirée-woohoo tout seul en pleine journée, au moins il viendra pas nous péter les steaks.

Re-sifflotade, parce que le plan ne coûtait pas cher -ou alors c’est pour essayer de nous convaincre que Floflo est en train de nous vanter les mérites de la flûte à bec alors que je vous rappelle qu’on a établi sans aucune équivoque possible qu’il parlait de bite. De son cannelloni. De sa courge d’Espagne. De son Orvet du Bengale. De son zgueg. De son chibre. De-sa-bite.

Cette charmante jeune femme, retenez bien son visage corporel, c’est la doublure-corps de la siffleuse. Et quand il va falloir se mettre à danser elle aura une doublure-danse. C’est hyper bien organisé. Ça, pour faire Au Clair De La Lune sans fausse note, y’a pas grand monde, mais si c’est pour classer de la bonnasse par ordre alphabétique, tout le monde répond présent. C’est vraiment sympa, cette volonté d’organiser. D’utiliser que des bouts de fille en fonction des besoins. Ça fait pas du tout serial-killer.

Attention, premier plan-nichon. Je ne vous cache pas qu’il va y en avoir pléthore. Vous serez pas venus pour rien.

Car Floflo en a une comme ça. (De bite)(Je re-précise)(Au cas où ce serait trop subtil)(On m’a souvent reproché mon excès de subtilité)

Devant la virilité de boa Amazonien, les doublures-fesses s’égaillent dans les champs de mer tels des papillons de lumière.

Effet visuel ! Transgression des codes ! Rébellion ! Grosse bite ! (Je fais comme ont dû faire Floflo et son équipe au moment de réfléchir à ce clip, c’est-à-dire que je balance des mots au hasard en me disant qu’on aura bien le temps de réfléchir à comment agencer tout ça ensemble. Vous pouvez jouer avec moi en commentaires si vous voulez. Vous criez des trucs. On verra bien pour le reste.)

Floflo commence à crier « eh-oh ». Il vient de réaliser qu’il est tout seul sur son rocher à se toucher la coquille comme un blaireau, pendant que les filles, elles, sont dans la mer à faire flapflap les vagues. Floflo est bien déçu. Faisant appel à l’esprit de Poséïdon, il imite la conque avec une propension au mimétisme proprement effarante et lance un appel dans le lointain.

Les filles ne l’entendent pas du tout, tout occupées qu’elles sont à se niquer les lombaires et se lavant la tête à l’envers. Au second plan, la doublure caca-dans-les-vagues s’entraîne.

A suivre…